Ô Blanc du plâtre
calcination partielle du gypse
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en comparaison

Blanc comme plâtre

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L.A. photographie, novembre 2010

Blanc Blanche en parlant d'une couleur postposé le plus souvent avec un trait d'union pour qualifier une couleur et en indiquer une nuance particulièrement claire pâle en parlant de la lumière corps blanc lumière blanche trous blancs fontaines blanches en parlant du ciel des nuages de la lumière solaire à certains moments du jour en particulier à l'aube au crépuscule en parlant de la lumière des astres qui est baigné d'une lumière pâle blanchâtre en parlant d'un moment du jour baigné d'une lumière douce en parlant d'un éclairage artificiel électrique parfois avec une valeur symbolique mystique qui est naturellement blanc en tout en partie ou d'une couleur très claire en parlant d'une chose concrète appartenant au domaine de la nature en parlant de la nature du sol d'un métal d'une pierre généralement précieuse en parlant de la terre alchimie sublimé blanc terre blanche en parlant de cailloux semer des cailloux blancs marquer d'une pierre blanche d'un caillou blanc quelque chose en parlant de la neige de la glace le Mont Blanc qui concerne la neige qui a rapport à la neige aux sports d'hiver or blanc gelée blanche en parlant de l'eau le lac blanc le fleuve blanc la mer blanche en parlant...

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L.A. photographie, novembre 2010

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Quelque pas 
sur la route blanche 
avec un chant

même à peine

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L.A. photographies,

Villard S/Doron,novembre 2010


















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Génie

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Tout proche et difficile à saisir, le dieu !

Mais au lieu du péril croît aussi ce qui sauve ( Hölderlin )

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Deux énormes livres de Maxence Caron, un peu plus de 3 000 pages

pour dix années de lecture minimum ( pour moi !! ) .

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Mais le temps n' a aucune espèce d'importance pour celui ou celle

qui a soif d'entendre et de voir la Vérité avec la foi et la raison.

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Les études sur Heidegger sont fournies, épaisses, mais dispersées. Confronté à l'éclatement des recherches concernant une oeuvre elle-même tout à la fois monothématique et singulièrement éparse, cet ouvrage met en évidence et en oeuvre la cohérence qui maintient en un tout les multiples affluents du fleuve heideggerien. La parole de Heidegger est réputée difficile. Une monographie qui entend être lisible ne peut se contenter de paraphraser la langue de l'auteur qu'elle choisit. C'est la raison pour laquelle Maxence Caron choisit - comme pour conjurer Babel et en accord avec l'esprit qui anime les oeuvres de Heidegger - de laisser la parole poétique accompagner la pensée.

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On croisera ainsi sur le chemin de l'explication des figures telles que celle de Mallarmé ou de Rimbaud ; on lira également Supervielle, Rilke, Hugo, Saint Jean de la croix, Michaux, Claudel, Novalis, Valery, Saint John Perse, Péguy, Char, et bien entendu Hölderlin dont la pensée heideggerienne a peut-être voulu ne devenir que la conscience.

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Ce travail de 2000 pages, écrit en une langue paradoxale, à la fois flamboyante et classique sort des rangs académiques et fait date. Il donne au langage philosophique une dimension renouvelée de transparence et de densité simultanées, constituant également le premier ouvrage d'ensemble sur le philosophe allemand.

2000 pages acceptées par un éditeur célèbre en faveur d'un très jeune inconnu. C'est le Père Gilles-Hervé Masson, des éditions du Cerf, qui a soutenu mordicus ce projet.

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La Vérité captive  construit un édifice de Sens, et abolit, par voie de Pensée, toute distinction artificielle entre la foi et la raison, entre la littérature et la philosophie. L'ouvrage propose une relecture intégrale de l'histoire autour d'une ontologie trinitaire, tout en soulignant avec lucidité l'âge critique de l' " outre-modernité " dans lequel l'humanité s'est enfoncée à force de donner créance à l' " immanentisme ".

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Précocité, Rapidité, Génie. A la fin 2005, Maxence Caron achève la rédaction de la vérité captive. Il a vingt neuf ans. Les esprits chagrin pourront dérouler leur bas humour, nous nous contenterons d'admirer.

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ICI

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Une terre de civilisation est une terre tendue vers des buts transcendants ; ce qui fait une civilisation, c'est la place qu'un peuple accorde au génie véritable. Lorsqu'en un endroit du monde quelqu'un pense ou agit comme s'il suffisait d'être soi-même pour avoir quelque chose à dire, c'est une défaite pour l'art et la pensée, car l'art et la pensée ne s'adressent qu'à ceux qui vont par-delà eux-mêmes recevoir le Sens. Le génie devrait être le pain quotidien de chacun qui est intéressé à vivre en homme, non que tous soient appelés à en être, mais tous sont appelés à recevoir la supériorité de l'Essence à qui le génie donne sa vie, donc à recevoir aussi quelque chose de cet homme qui donne tant pour rayonner ce qui est.

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Maxence Caron in Pages le sens la musique et les mots

( P.53, Julien Gracq sens historique d'un décès )

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Dans mes déserts de neige, 
suivre ses vues, ses souffles, son corps, son jour

Génie R.









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Piero della Francesca

la vierge de l'attente, Monterchi

( province d'Arezzo) Museo Civico

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De la main droite, la Vierge Marie dégrafe sa robe,

montrant son ventre et l'état avancé de sa grossesse.

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La position exactement centrale et la construction volumétrique de la Vierge Marie soulignent sa fonction de tabernacle mystique, comme gardienne du Saint des saints. Toutefois, Piero della Francesca a ajouté deux notes réalistes : le geste de la main gauche, qui soutient les reins, et le dos légèrement penché en arrière, attitude caractéristique des femmes enceintes.

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La tente tabernacle faite d'étoffes précieuses est semblable à celle dressée pour abriter et protéger l'Arche d'alliance.

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L'attitude parfaitement symétrique des anges souligne la valeur cérémonielle et mystique de l'image.

Brise marine et Grand beau temps

La chair est triste hélas et j'ai lu tous les livres. ( Mallarmé )
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La chair n'est pas triste, la vérité non plus,
je n'aurai jamais assez bien lu tous les livres...( Ph. Sollers )

Albert Camus, cette superbe recherche de l'agréable dans Noces à Tipassa :

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Que d'heures passées à écraser les absinthes, à caresser les ruines, à tenter d'accorder ma respiration aux soupirs tumultueux du monde ! Enfoncé parmi les odeurs sauvages et les concerts d'insectes somnolents, j'ouvre les yeux et mon coeur à la grandeur insoutenable de ce ciel gorgé de chaleur.

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Mais aussi :

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L'existence humaine est une parfaite absurdité pour qui n'a pas foi en l'immortalité.

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L' immortalité est un désir vain, un désir irréalisable,

l'existence humaine est une parfaite absurdité pour qui a foi en l'immortalité.

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Mieux vaut s'installer à l'aise dans l'instant présent, manifestation-modernité-actualité de l'espace-temps. Être présent, être là, car c'est là que ça se passe et nul part ailleurs. Le temps n'est qu'un instrument de mesure, un artifice qui nous a fait oublier l'éternité de l'instant présent, cette lumineuse Vérité. Le sens ( signification et profondeur ) de la vie est de l'explorer, en toute liberté, de se fondre au flux de l'instant éternellement présent en pleine conscience-connivence.

Ciel Proche Tendre

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333 e jour de l'année
MN 122  
32 jours restants
48 e semaine
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Amélioration

ensoleillé au-près-de-midi

encore très froid

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Mon versant 
Nord est recouvert d'une neige 
épaisse et poudreuse
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Magnificence du simple

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Radio 
Piano Sonates

Sonates pour piano et violons

Mozart

Clara Haskil.

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Le mot résurrection intensifié

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Le temps est 
l'ombre aimante de l'éternité

Maxence Caron


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Tendre 
ciel proche









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L.A. photographie,

ma fenêtre, novembre 2010

Le Soleil 
s'est levé à 8 h 19 et il va se coucher à 
16 h 57

Lune 

décroissante pleine à 

50 %

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Promenade sur une petite route sous la neige

une ânesse & un arbre

aimables présences

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L.A. photographies,

novembre 2010, Villard S/Doron

Snowplough

Chasse-neige

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Undipped. To drive whith U. headlights

Être en phares ; conduire avec les phares allumés

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L.A. photographie, novembre 2010, Villard S/doron

Unusual, 1 et 2
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L.A. photographies, novembre 2010

La blancheur Persil

fonde son prestige sur l'évidence d'un résultat !

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L.A. photographie, novembre 2010