mardi, décembre 02, 2025

impossible de s’en faire une image

oh combien invisible

oh combien insaisissable 


comme si toute tentative de figuration

était vouée à s’effondrer avant même d’apparaître


ce qui se présente ainsi n’est pas un mystère

pas une énigme à résoudre

mais une réalité sans face

un phénomène qui ne se laisse approcher

que par sa périphérie















on peut en sentir l’approche

un léger déplacement dans l’air

quelque chose qui modifie la texture du moment

mais jamais une forme

jamais un contour


l’invisible n’est pas caché 

il n’a simplement rien à montrer


il agit en marge

déplace les lignes discrètement

comme une main qui n’effleure pas la surface

et pourtant modifie l’équilibre des choses




l’insaisissable n’est pas absence 

c’est présence sans lieu

trace sans support

un type d’existence qui ne demande pas à être tenue

seulement reconnue quand elle traverse le regard




alors on renonce à l’image

non par résignation

mais parce que le monde parfois

s’exprime mieux dans ce qu’il retire

que dans ce qu’il offre



























les licornes gambadent et les phénix planent…

non comme visions d’un autre monde

mais comme formes légères que produit parfois l’esprit

quand il relâche la contrainte du vraisemblable



elles passent dans le champ mental

comme passent les ombres sur une colline 

sans annoncer quoi que ce soit

simplement présentes 

disponibles























leur mouvement ne renvoie pas à une croyance

mais à la capacité du regard

de laisser coexister le réel et l’imaginal

sans hiérarchie

sans conflit


la licorne avance 

c’est une ligne blanche qui se déplace

un contour qui indique une possibilité


le phénix s’élève 

non pour renaître

mais pour montrer qu’un cycle peut être pensé

sans qu’il se réalise


ces figures ne cherchent pas à convaincre


elles apportent un léger déplacement du sens

une respiration dans la continuité du jour


on pourrait les congédier d’un geste

mais ce serait refuser cette part d’exactitude

que contiennent parfois les choses irréelles 


elles pointent vers ce que le monde

dans sa stricte matérialité

n’exprime pas encore



























de Dieu on ne peut rien dire
mais malheur à moi si je n’en parle pas

le paradoxe 
se pose comme une pierre au milieu du chemin 

inutile de la contourner
il faut seulement constater qu’elle est là


parler 
non pour définir
mais pour signaler la faille du discours
pour montrer l’endroit où le langage se retourne
et découvre son propre bord


ce dont on parle ainsi n’est pas un objet
ni une présence localisable

c’est une tension
un vide orienté un point d’attraction autour duquel
la pensée se déplace sans jamais atteindre le centre



























on ne dit rien de Dieu 

on dit seulement l’impossibilité de dire

et c’est peut-être cela parler 
cerner l’espace où les mots se défont
où la parole devient observation de son propre échec


malheur à moi oui
si je garde le silence complet 
car ce silence alors se confondrait avec l’indifférence 
ou l’oubli


il faut donc parler mais autrement 
par fragments 
par gestes

en déposant des traces modestes
sur les bords du réel

là où l’inconnaissable commence

non pour expliquer
mais pour reconnaître



























un dispositif en moi travaille sourdement 

comme une machinerie 

sans plan réduite à ses impulsions élémentaires 


il ne se signale pas 

ne cherche pas à formuler ce qu’il produit

il opère dans une zone sans lumière 

où les pensées ne sont pas encore pensées 

où les gestes n’ont pas encore trouvé leur forme






















ce travail interne n’a rien d’exceptionnel : 

c’est un mouvement d’ajustement presque neutre 

qui trie déplace élimine 

sans que je puisse dire selon quels critères


parfois un résultat affleure

une décision qui semble s’imposer d’elle-même 

une intuition qui trouve son point d’appui

une clarté brève sans explication

on pourrait croire à une intention cachée 

mais il n’y a sans doute qu’un mécanisme d’équilibre 

une manière de maintenir la continuité 

là où tout pourrait se disperser

ce dispositif ne promet rien  

il s’active puis se tait 

laissant juste la sensation d’un travail minimal mais constant

comme si une part de soi veillait à ce que le fil

même ténu ne se rompe pas

























 






sur ce dont on ne peut parler il faut garder 
le silence

non comme une interdiction mais comme 
une méthode








le 
silence 
n’est 
pas 
un 
retrait



il agit plutôt comme un cadre 
il protège les contours de ce qui échappe
laisse intact ce qui résiste à la formulation



il y a 
des zones 
où le langage s’effrite
où chaque mot posé décale 
un peu plus ce qu’il voulait atteindre


on le sait
pourtant on tente
puis on s’arrête et dans 
cet arrêt quelque chose se clarifie



le 
silence 
n’est pas vide


il 
accueille 
la part du réel
qui ne se laisse ni réduire ni nommer 



la part 
qui demeure opaque et de ce fait 
nécessaire




parfois ne pas dire
revient à maintenir la justesse du regard



le monde ne demande pas toujours
à être traduit 


il demande parfois à être simplement laissé là
brut imprévisible 
intact



le silence 
devient présence

une manière 
de rester  avec ce qui dépasse sans vouloir 
le maîtriser




























 



l’image est un modèle de la réalité

mais un modèle sans garantie
comme une carte dessinée à même le vent



















elle retient une forme un rythme un agencement des choses qui semble juste au moment où l’œil se pose
puis déjà le monde a changé

on croit y voir une réduction fidèle, un schéma où chaque élément trouverait sa place, mais l’image ne fait qu’effleurer ce qu’elle prétend saisir

elle isole simplifie oriente  et c’est peut-être là sa fonction  montrer moins pour permettre de voir autrement

dans l’image le réel se déprend de lui-même

il abandonne le bruit la durée les couches superposées d’incidents minuscules

il ne reste qu’un état un instant choisi  qui n’a pas la prétention d’être tout mais seulement d’exister comme repère

alors on comprend que le modèle n’est pas copie mais acte 

un geste qui construit une version praticable du réel une manière de l’approcher sans s’y perdre




dans 
cet appauvrissement 
il y a peut-être  une forme de vérité 
celle qui naît quand le monde
réduit à sa ligne essentielle
devient soudain 
lisible
























 



prendre pour guide 
l’impalpable fil d’Ariane de la déchirure…

un fil si mince 
qu’il ne retient rien pas même l’idée d’un retour




















on avance avec cette trace presque inexistante
non pour recoudre ce qui s’est ouvert
mais pour en suivre la logique discrète 


une ligne de fracture qui paradoxalement oriente


la déchirure n’indique pas un manque

elle décrit simplement un passage
comme la fissure qui révèle la structure d’une pierre
sans en modifier le poids

ce fil on ne le saisit jamais vraiment

il se confond avec l’air
se perd dans la moindre variation de lumière


pourtant on le reconnaît 
quelque chose dans sa fragilité fait signe
non vers une destination
mais vers un mode d’être attentif

marcher ainsi guidé par ce presque-rien
c’est accepter que la cohérence ne sera jamais totale
que l’orientation vient souvent de ce qui ne peut être retenu

la déchirure alors devient passage étroit
sans menace
ouvert juste assez pour laisser circuler
le mouvement nécessaire













St Esprit le Lac Grésy sur Isère novembre 2025


























 



poursuivre il le faut mais pourquoi…

la question se pose sans urgence 
comme un objet trouvé au bord du chemin






















on la ramasse
on la tourne entre les doigts
et déjà elle perd quelque chose de sa gravité

peut-être 
que la raison n’a pas de forme 
stable

elle se déplace comme le reste
s’attache un moment à un détail  un souffle d’air
une pierre plus lisse que les autres 
puis s’en détache sans bruit

poursuivre non pour atteindre
mais parce qu’il y a ce mouvement en soi
ce faible courant qui persiste tant que le corps tient debout

on ne cherche pas de preuves

les signes s’ils existent ne parlent pas

ils se contentent de coexister avec le pas
avec la fatigue légère qui accompagne tout trajet

alors poursuivre devient un geste minimal 

maintenir l’équilibre accepter le provisoire
s’avancer dans un temps qui n’a pas choisi sa direction

tt peut-être qu’au bout il n’y a rien d’autre
qu’un autre segment de chemin
ni meilleur ni pire
simple continuation du réel

mais cela suffit 
aller parce que rester figé
ne donnerait pas plus de réponse










Outrechenay novembre 2025


































Outrechenay novembre 2025




avancer dans l’incertitude 
entouré d’ombres qui glissent et se détachent du couchant 
silhouettes mobiles dans une lumière vacillante…





le sol d’abord muet commence à rendre compte de ce qui le traverse  
poussière déplacée cailloux qui s’ajustent  
herbes pliées par un souffle 
sans origine



rien n’annonce une direction 
seulement la persistance d’un pas après l’autre



les ombres ne cherchent pas à signifier

























elles passent se recomposent
s’effacent dans l’angle d’un arbre puis réapparaissent presque identiques 
presque autres.




la lumière
elle aussi négocie son retrait




elle glisse sur les surfaces,  hésite à quitter les choses comme si 
chaque contour réclamait un dernier inventaire




dans cet intervalle 

ni jour ni tout à fait nuit 

le monde semble réduit à ce qu’il est 

matière posée là sans intention prête seulement à être vue 

tant qu’il reste assez de clarté





le chemin n’offre pas de récit



il avance pour la seule raison qu’il existe ligne simple 
sans promesse



et l’on comprend en suivant cette ligne que l’incertitude n’est pas un obstacle
mais la forme exacte du présent 



un territoire sans emphase
où chaque pas confirme seulement qu’on est encore là
























tout le matin tient dans deux mains 

dans cette coupe minuscule 
où la lumière se dépose 
comme 

un souffle encore fragile




le vaste ciel 

le froid clair de l’aube

les premiers pas du monde 

tout se resserre

se concentre 

devient offrande




























on croit que le matin est un horizon un territoire large mais il n’est qu’un instant que l’on saisit ou que l’on laisse filer  Deux mains suffisent  pour accueillir la fraîcheur encore neuve pour contenir la promesse qui tremble pour sentir la naissance du jour battre contre la peau  


le matin n’est pas grand   
il est dense

il ne s’étale pas 
il se recueille



dans ces deux mains 
ce n’est pas l’aube qu’on porte 
mais la possibilité de recommencer



























la distance est le lieu  

paradoxal royaume 
où ce qui s’éloigne devient enfin habitable

ce n’est pas la proximité qui révèle
mais l’écart 


cet espace de respiration 
où les formes cessent de peser 
où les choses redeviennent visibles 

parce qu’on  ne les touche plus

la distance n’est pas un vide  
c’est une chambre 
d’écho













elle agrandit les contours donne aux êtres leur juste ampleur aux pensées leur juste silence  Ce que l’on tient trop près devient muet  ce que l’on laisse aller trouve sa voix 


loin n’est pas ailleurs  c’est une manière d’être présent autrement.

là où l’œil cesse de vouloir saisir il commence à voir. 

là où la main renonce à posséder le monde apparaît







la distance 

n’est pas un obstacle 


elle est l’espace même 

où se déploie la vérité des choses


un lieu 

sans murs 

mais où tout prend forme















lorsqu'une idée commence à se lever à l'horizon 
la température de l'âme est généralement très froide




écliptique de l’idée 
 
trajectoire 
lente oblique 
où la pensée s’approche de sa propre ombre 
pour mieux en révéler la lumière cachée

une idée ne naît pas d’un éclair
mais d’un mouvement 
d’orbite  

elle traverse des zones de clarté puis disparaît 
derrière l’opacité du non-dit avant 
de réapparaître comme un 
croissant minuscule 
de sens






















dans son écliptique
la pensée ne progresse pas en ligne droite  
elle tourne revient se dérobe s’alourdit s’allège

elle connaît ses nuits
où elle semble s’éteindre et pourtant c’est là que se prépare 
son retour le plus vif



l’éclipse n’est jamais disparition 
c’est un changement d’angle un glissement de lumière

ainsi l’idée
pour se montrer entièrement
doit passer par le moment où elle se retire
moment où ce qui se voit n’est plus elle mais l’espace qui la porte

l’écliptique de l’idée 
est la courbe secrète de toute création 

une danse 
entre le visible et l’invisible
où le sens se forme dans l’alternance même 
de sa clarté et de son 
retrait






c'est peu à peu que l'idée développe sa chaleur 
et elle est le plus intense lorsque 
la croyance en l'idée est 
déjà en déclin 





















la gravité et la légèreté 


la gravité 

est ce qui nous attire 

vers le bas

vers le fond

vers le réel dans sa densité








elle est force 

poids

responsabilité

 

elle ancre l’être dans une consistance l’oblige 

à tenir

à demeurer

à porter son propre nom sans fuite

 

la gravité 

n’est pas seulement physique 

elle est éthique

existentielle

la part de nous qui ne peut pas tricher







la légèreté

est le relâchement des attaches

l’élan qui dénoue

l’amincissement des frontières


elle n’est pas inconsistance mais disponibilité  

la capacité de se déplacer 

de se transformer

de s’alléger des certitudes


là où la gravité condense

la légèreté 

déplie


là où la gravité fixe

la légèreté

respire




la tension entre les deux n’est pas un conflit mais une danse  la gravité donne profondeur à la légèreté et la légèreté donne souffle à la gravité L’existence avance ainsi entre poids et transparence entre chute et ascension  cherchant parfois ce point miraculeux où l’on devient à la fois ancré et aérien

















blancheur qui atténue l’aveuglement  
chromatiques atmosphériques légèrement abstraites avec 
un glissement d’intensité ou de sens

5 mots


blancheur 
posée sur la brûlure



lumière 
céder aux yeux 
clos



voile tremblant sur le visible



aube reculant devant 
l’éclat




















gris 
léger calmant la lumière


lueur ralentie par le blanc    rayonnement cassé par l’ombre


éclat brisé sous le voile

lumière 
adoucie par le silence



blanc fragile contre la flamme spectre dilué dans la clarté



nuance 
pâlie 
par 
la 
distance



lumière 
repliée 
dans 
l’
air


blanc glissant sous la vision



ombre 
mêlée
à 
la 
lumière



transparence veillant sur l’éclat



blanc suspendu au regard 
profond



lumière tamisée par 
l’aube





vision calmée par l’espace    clarté tombée dans le gris





















monochrome de novembre 2025


fragments développés 


blancheur qui atténue l’aveuglement











comme un voile posé 

sur le feu


lumière adoucie

blessure rendue respirable


la blancheur voile le trop-voir

et le regard reprend forme













l’éclat recule

le monde devient supportable


un blanc discret

apaise la violence du visible







blancheur 

filtrant la brûlure

lumière douce contre 

l’abîme
voile blanc regard 

sauvé

éclat calmé par 

l’ombre
blanc léger vision rendue
















 



le silence et la vibration 


le silence 

est la trame invisible sur laquelle tout son se tisse 

il n’est pas absence mais réserve 











une profondeur nue 

un espace où rien n’est encore séparé 

le silence recueille rassemble prépare

il est la possibilité pure de l’émergence



la vibration 



elle est l’irruption de l’énergie dans ce calme 

un frémissement qui traverse la matière 

qui anime l’air 

qui fait naître un rythme 

elle est mouvement expansion propagation


là où le silence plonge la vibration 

surgit  

là où le silence contient la vibration 

diffuse



leur tension est celle de la création même  le silence offre le champ la vibration y trace une figure L’un donne la potentialité l’autre l’événement

dans leur alternance le monde respire  un battement constant entre repos et élan entre immobilité féconde et tremblement du vivant















Ne désespérez jamais. Faites infuser davantage.
Henri Michaux , Face aux verrous.

Du "Dao" originel
du commencement du réel
des signes célestes
des formes terrestres
des règles saisonnières
de l'examen des choses obscures
des esprits essentiels
de la chaîne originelle
de l'art du maître
des évaluations fallacieuses
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des résonances du "Dao"
de l'inconstance des choses
des paroles probantes
de l'utilisation des armes
montagne de propos
forêt de propos
du monde des hommes
du devoir de se cultiver
de la synthèse ultime


"ô le plus violent paradis"

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