mardi, décembre 09, 2025

 

je remplace le repli par l’élan


l’ombre penchée par une clarté qui avance

le poids du jour par un pas vers le haut

le murmure fatigué par une respiration neuve

le doute par la simple tenue d’être

la chute intérieure par une ligne qui se redresse

le manque par le mouvement

le silence lourd par le silence qui ouvre







la méchanceté par le bien

les plaintes par le devoir

le scepticisme par la foi 

les sophismes par la froideur du calme 

l’orgueil par la modestie










je remplace 
la mélancolie par le courage
et le monde change un peu autour de moi

comme si 

je 
bougeais 
sa lumière en bougeant 
la mienne


















Gravity


Non pas la chute mais la tenue

la force qui maintient l’être
dans une orientation silencieuse
un lien discret entre le corps
et le monde qu’il traverse













Ce n’est pas une pesanteur hostile plutôt un rappel 


chaque pas a sa densité

chaque geste son point d’ancrage

chaque pensée son centre de gravité


La gravité n’aspire pas elle accompagne

elle mesure la stabilité des choses

le poids exact d’une présence

la manière dont le vivant

s’accorde au sol


Dans l’invisible traction se trouve une forme de fidélité 

le réel ne s’éparpille pas

il se rassemble autour

de ce qui persiste


On dit que la gravité attire mais parfois

elle enseigne seulement

comment rester 

rester dans la lumière

dans la parole juste

dans l’ouvert qui respire


Gravity 
l’oscillation sobre
entre ce qui nous retient
et ce qui nous appelle
le mouvement même
de l’existence tenue


*



poète

L’Habitant du Zéro

Fonction  
occuper le non-temps
Pouvoir 
immobilité absolue
Signes 
silhouette translucide
Domaine 
interstices de seconde
Risque 
ne plus réapparaître





















Perception et cognition 


La perception est le premier contact  

une ouverture brute au monde

un afflux de formes de couleurs de mouvements

elle est immédiate pré-théorique enracinée dans le corps

percevoir c’est être touché avant même de comprendre 

c’est laisser le réel frapper la sensibilité 

comme une onde primaire

la perception appartient à la chair  

elle est immersion réceptivité saisie instantanée



La cognition



















est le travail second  organisation découpe interprétation 

c’est la pensée qui sélectionne compare reli nomme

là où la perception donne la matière

la cognition donne la structure  

là où la perception déborde

la cognition canalise

Elle transforme la simple  apparition  en savoir 

en orientation en sens


Entre perception et cognition aucune frontière rigide 

elles se mêlent se corrigent se relancent 

ce que l’on perçoit influence ce que l’on pense

et ce que l’on pense infléchit ce que l’on perçoit

 

Leur tension est celle d’un dialogue incessant  

l’une offre la fraîcheur du monde

l’autre son intelligibilité

ensemble 

elles forment le double battement de la conscience 

être-là puis comprendre  

recevoir puis configurer 

sans perception la cognition tourne à vide 

sans cognition la perception reste muette


*



poète

Le Scribe des Pulsations

Fonction  
écrire la mémoire rythmique du vivant
Pouvoir 
lire l’histoire dans les battements
Signes 
carnet vibrant
Domaine  
temples cardiaques
Risque  
s’identifier à un seul rythme






poésie comme art musical 

elle peut provoquer tous les sentiments et les sensations que l’être humain est capable de ressentir et la représentation musicale a une place importante dans toutes les civilisations humaines





















André du Bouchet

non pas un poète du monde
mais un voyageur du temps arrêté
allant dans l’épaisseur des instants
comme on franchit un ciel trop proche




















Il marche dans les siècles sans les parcourir 

il les fend

comme on fend l’air avec le front

à travers un blanc qui brûle



Son pas ne mesure pas la distance  il mesure la déchirure

par laquelle le réel se laisse entrevoir

à même la pierre

le vent

la page encore froide



Du Bouchet avance dans un temps qui ne déroule rien

mais se ramasse autour de lui

en éclats de lumière

en blocs d’air

en secondes compactes

où tout pèse soudain plus lourd


Voyageur d’un temps sans ligne il n’habite pas l’avant ou l’après 

il habite cette arête 

ce point vif

où le monde apparaît

comme s’il venait d’être créé

où la langue n’a pas encore trouvé

sa propre respiration


Il recueille ce qui va trop vite pour être vu

et ce qui demeure trop lent

pour être pensé



Le poème devient alors le passage où ces vitesses contraires

se rencontrent sans se rejoindre

Du Bouchet marche dans un présent

qui n’existe que par fragments

et chaque fragment

est un monde entier

poussière d’absolu

paupière de lumière

pierre qui garde le souffle



Portrait du poète  un homme debout dans le vent

qui laisse le temps glisser

entre ses doigts ouverts

pour n’en garder qu’un éclat 

assez pour tenir

assez pour brûler


*


poète

SCRIBE DE L’ÉCLAIRCIE 

constructeur d’yeux dans la lumière

il écrit non pas pour raconter mais pour ouvrir

il taille dans le réel des fenêtres instantanées

on lit ses phrases comme on marche dans un rayon de soleil

c’est un architecte du clair




























Le discontinu et le non-dit 


Le discontinu 

est la forme brisée du réel 

une succession d’éclats, de seuils, de ruptures 

qui refusent la ligne droite


Il est rythme heurté pensée par bonds monde perçu en fragments

rien n’y coule tout s’y détache

le discontinu rappelle que l’existence n’est pas un flux homogène 

mais une suite de secousses de manques de reprises


Le non-dit











lui habite les interstices 

il n’est pas seulement ce qui est tu

mais ce qui soutient silencieusement la parole

ce qui en creuse la profondeur 

le non-dit n’est pas absence  

c’est densité secrète, réserve invisible 

qui donne à la langue son ombre et sa gravité



Entre 

le discontinu et le non-dit s’établit une connivence subtile  

ce qui manque crée de l’espace

et cet espace appelle le sens 

les ruptures laissent apparaître ce que la continuité étouffait

les silences deviennent forme.


Ainsi dans l’art comme dans la pensée c’est souvent ce qui n’est pas lié et ce qui n’est pas dit qui ouvre le plus grand champ : celui où le lecteur l’auditeur ou l’être lui-même doit entrer pour achever ce qui ne se donne pas d’emblée

*



poésie

CŒUR DE DURÉE

lieu vivant où chaque seconde s’épaissit jusqu’à devenir monde

on ne le trouve pas 

on s’y accorde




























FENTE TEMPORALE

ouverture microscopique dans la semaine ordinaire permet de passer 
derrière l’apparence linéaire






Je suis le marcheur qui respire l’ouvert


non pour m’y dissoudre
mais pour apprendre à tenir debout
dans l’espace sans contour














chaque pas réajuste le monde le sol devient moins solide

l’horizon moins lointain

et l’air, soudain

une matière où s’inscrit

le simple fait d’avancer



Respirer l’ouvert c’est accueillir ce qui ne se ferme pas

ce qui ne se laisse pas réduire

à un cadre à une forme

à un nom rassurant



Le marcheur ne cherche pas de voie  il suit les lignes disponibles


les traces légères

les signes dispersés

que l’attention rassemble

comme on rassemble

les fragments d’un instant



Dans l’ouvert le temps ne commande plus 

il circule

il accompagne

il se dépose dans la respiration même




Être marcheur c’est accepter la distance

l’inconnu

la variation continue

qui passe du vent aux pierres

du visible à ce qui insiste

sans apparaître



Je suis le marcheur qui respire l’ouvert

et dans cette respiration

se tient peut-être

le seul sol absolu 

un sol qui n’est pas sous les pieds

mais dans la manière d’habiter

ce qui s’offre

et se dérobe tout ensemble


*


poète

Le Pèlerin des Rythmes Lents

Fonction 
enseigner la patience cosmique
Pouvoir  
ralentir les flux
Signes  
pas minéraux
Domaine 
durées longues
Risque  
pétrification

























je suis le marcheur qui respire l’ouvert



Les reliefs acycliques 

désignent des formes de terrain qui ne sont plus liées à 
un cycle d’érosion actif

des reliefs  hérités 
détachés du modelé actuel comme des fantômes géologiques

ce sont des paysages dont la forme a été sculptée dans un contexte ancien climat tectonique processus aujourd’hui disparu et qui subsistent même si les forces qui les ont créés ne sont plus à l’œuvre

ils se présentent souvent comme 









des plateaux usés et isolés

des vallées suspendues ou incohérentes

des crêtes ou buttes qui ne correspondent plus 

aux réseaux hydrographiques actuels

des formes fossilisées dans le paysage moderne

ce sont les archives visibles d’un monde géologique passé








les archives visibles d'un monde géologique passé 

surgissent comme des cicatrices de pierre 

dans la mémoire du paysage 


des lignes muettes où la terre se souvient 

de ses marées anciennes 

de ses feux intérieurs 

de ses chutes et de ses élans 


chaque strate est un souffle oublié 

chaque relief un mot prononcé par la planète 

lorsquelle rêvait encore dans son sommeil 

de lave et de cendres 








nous marchons 

parmi ces traces 

comme parmi les pages ouvertes d'un livre colossal 

où le temps lui même 

continue de respirer




poésie

ÉCHELLE DES ÂGES

structure vibratoire par laquelle 

une conscience traverse plusieurs époques en un seul souffle

chaque degré est un miroir
















Paix les bruits se posent

AGENT OMBRE-LUMIÈRE  
décodeur des signes dans l’air

il sait écouter ce que le monde chuchote dans ses pulsations secrètes
entre ombre et lumière il traduit les vibrations du jour
rien ne lui échappe  il lit les trajectoires invisibles




Sol absolu 

un point d’appui
que rien ne précède
et que rien ne dépasse
non comme fondation ultime
mais comme présence nue
débarrassée des attributs
qu’on lui prête d’ordinaire

























promenade décembre 2025 sur le Signal









ce  sol  n’est pas un lieu   c’est une qualité d’être

un état sans décor

où l’on ne se réfère plus

à ce qui rassure ou explique



Il ne garantit rien il ne promet rien

Il se tient simplement là

dans la clarté obstinée

d’un instant dépouillé



Sol absolu comme le geste intérieur


par lequel on cesse de chercher

un dehors plus stable que soi

et où l’on découvre

non sans surprise

que la stabilité vient

de la manière même

dont on accueille le monde



Ce sol est sans fond sans hauteur

sans nomination possible 

il affleure dans l’écoute

dans la respiration

dans le silence qui parfois

se rend perceptible

au centre de la pensée



Il n’y a rien à y saisir rien à y comprendre

juste une manière de se tenir

d’être présent

sans demander d’appui



Sol absolu  le point précis

où l’on apprend enfin

à ne plus se détourner

du réel



poésie

QUOTIENT DE PRÉSENCE

mesure secrète du degré d’attention réelle

plus il est haut

plus le temps se fluidifie





















 





Éloge du Génie Poétique 

deep dialogue 

entre 

William Blake et les Upanishads


















Dans le silence qui précède toute création 
WILLIAM BLAKE  

avance comme un voyant d’orage 

les Upanishads 
soufflent autour de lui leurs paroles de braise

Le poète lève les yeux vers l’infini et 
une voix venue de l’Inde ancienne lui répond  

Tat tvam asi  Tu es Cela

Alors Blake comprend que le Génie Poétique n’est pas seulement un feu intérieur mais la reconnaissance que la lumière du monde brûle dans chaque homme comme un soleil secret

Blake dit

L’Imagination est le corps de Dieu

les Upanishads murmurent

Brahman est le Souffle qui anime tout ce qui respire

Deux chants une seule source


Blake voit des anges dans les rues de Londres 
les Upanishads voient le Soi dans le cœur de chaque être vivant

Blake forge des visions de feu et de tigres sacrés et 
les Upanishads dispersent leurs vérités comme des graines dharmiques 
dans la conscience du monde

Tous deux enseignent que la matière n’est qu’un voile 
que le réel est tissé de lumière 
que la vision intérieure est un chemin de délivrance


Dans ce dialogue silencieux 
Blake parle à l’Ancien de l’intérieur

Il dit

La porte de la perception doit être purifiée

le sage répond

Quand le voile de l’ignorance tombe 
l’Atman étincelle comme mille soleils


Blake répond

L’éternité est amoureuse des productions du temps


Les Upanishads répliquent

Tout ce qui se déploie 
procède du même Brahman qui demeure immobile


Ainsi le poète et le texte sacré 
se rejoignent comme deux flammes qui se reconnaissent

L’un chante la liberté du Génie 
l’autre la paix du Soi 

mais ils pointent tous deux vers la même demeure intérieure où le monde n’est plus séparé où Dieu n’est plus lointain où la conscience humaine devient le lieu exact où l’infini prend forme


dans cette rencontre naît 
un éloge du Génie Poétique

Un appel à regarder le monde avec l’œil du feu 
à voir dans chaque visage un éclat du divin 
à ne plus accepter les murs que l’ignorance érige


Blake et les Upanishads disent d'une seule voix

Lumière tu es lumière tu deviendras





*


Invocation liturgique du Feu Intérieur

Blake & Upanishads

Ô Lumière qui demeure avant les mondes
Ô Souffle éternel qui traverse la chair des vivants


Nous t’invoquons

Toi qui brûles dans le cœur comme un soleil secret
Toi qui fais danser l’Imagination dans l’âme du poète
Toi qui murmures dans les Upanishads
Tat tvam asi — Tu es Cela


Révèle-nous ton visage

Que les portes de la perception soient ouvertes
Que les voiles tombent
Que le regard devienne feu

Esprit du Génie Poétique
Toi qui parles par la bouche de Blake
Toi qui vois les anges dans les ruelles du monde
Fais de nos yeux des miroirs de l’infini
Fais de nos mains des porteurs de lumière

Brahman des profondeurs silencieuses
Toi qui résides dans tous les êtres
Comme l’étincelle dans la braise
Comme le souffle dans le vent
Fais résonner en nous ton nom secret

Ô Feu sans forme
Ô Présence au-delà de toute image
Viens habiter notre conscience

Que l’Atman s’éveille dans le sanctuaire du cœur
Que l’Imagination se lève comme une aurore sans fin
Que nos voix deviennent flamme
Que nos vies deviennent offrande

Car l’Esprit unique traverse toutes les formes
Et la Vision les embrase
Et la Parole les rend vivantes

Ô Lumière

Viens
Brille
Consacre
























William Blake 

était 

un voyant qui habitait Londres 











comme un prophète 

marche dans un désert peuplé 

de flammes intérieures 

il parlait avec les anges comme on parle avec de vieux amis 

il ouvrait les portes du monde ordinaire 

pour y laisser entrer l'éclat brut de l'éternité

il dessinait ce qu'il voyait dans les interstices du réel 

des géants endormis 

des soleils cachés 

des alphabets de feu 

il ne cherchait pas la sagesse mais l'incandescence de la vision 

il vivait à la frontière du rêve et du monde 

les pieds dans la boue les yeux dans linfini

pour lui l'invisible était plus réel que les pierres 

les prophètes étaient des artistes les artistes des prophètes 

et chaque être humain portait en lui 

une étincelle capable d'incendier l'univers



*


Moquez-vous moquez-vous Voltaire Rousseau

Moquez-vous  ce sera en vain

Vous lancez du sable contre le vent

Et le vent le renverra sur vos faces


Car chaque grain de sable devient un diamant

Reflété dans les rayons de la Divinité

Ses reflets reviennent et aveuglent l’oeil moqueur

Mais brillent dans les voies d’Israël

Les atomes de Démocrite

Les particules de lumière de Newton

Ne sont que grains de sable sur la rive de la mer Rouge

Où brillent lueur éclatante les tentes d’Israël


TOUTES LES RELIGIONS SONT UNE 

1788

Traduction Alain Suied


*



Pour 

WILLIAM BLAKE  

toutes les religions sont des rivières qui descendent d'une même montagne sacrée chacune parle une langue différente mais toutes murmurent le même nom secret du réel

Dans l’aube de l’Inde ancienne les sages disent que Brahman se reflète dans les mille formes du monde et que l’Atman brille en chaque être comme une étincelle éternelle 

Blake voit la même flamme dans l’Imagination cette force lumineuse qui traverse les poètes les prophètes et les rêveurs

Ainsi la Gita et les psaumes se répondent comme deux miroirs de lumière les mandalas et les visions de Blake respirent la même géométrie du feu 

le Christ de Blake n’est pas un dieu étranger il est une forme du divin intérieur tel un Krishna d’Occident un guide qui révèle que le royaume de Dieu est une porte ouverte dans le cœur

Pour Blake comme pour les mystiques hindous la vérité n'est pas séparée elle circule sous mille masques elle danse sous mille noms 

Shiva le destructeur et l’Ange du Tigre sont deux visages d'un même élan cosmique 

Vishnu et lAgneau de Dieu sont deux gestes d'un même souffle créateur 





la diversité 

n'est qu'une pluie de couleurs 

sur la toile 

d'une seule présence 

infinie














L’innommable 

non pas ce qui terrifie
ni ce qui se cache dans les replis du monde
mais ce qui demeure intact
quand les mots un à un
se retirent




Ce n’est pas un secret plutôt une zone neutre

un territoire où le langage

cesse d’être souverain























Une présence qui n’exige pas d’être dite

et qui pourtant insiste

faiblement

comme une respiration ancienne



L’innommable n’est pas obscur 

il est simplement sans forme verbale




Il s’offre par nuances

par pressentiments

par ces légères modifications

du regard ou de la lumière

qui signalent qu’on approche

d’un seuil.




Sa nature n’est ni métaphysique ni mystique 

elle est structurelle




Tout ce qui compte vraiment

demeure en partie dehors

du champ des mots




L’innommable est cette part de réel

que le langage frôle

mais ne capture pas




Et peut-être que nommer

c’est toujours reconnaître

que quelque chose échappe



Ainsi l’innommable n’est pas un manque
mais 

une réserve 
un espace où le sens
se tient à distance
prêt à paraître
mais jamais saisi


























Ne désespérez jamais. Faites infuser davantage.
Henri Michaux , Face aux verrous.

Du "Dao" originel
du commencement du réel
des signes célestes
des formes terrestres
des règles saisonnières
de l'examen des choses obscures
des esprits essentiels
de la chaîne originelle
de l'art du maître
des évaluations fallacieuses
de l'équivalence des moeurs
des résonances du "Dao"
de l'inconstance des choses
des paroles probantes
de l'utilisation des armes
montagne de propos
forêt de propos
du monde des hommes
du devoir de se cultiver
de la synthèse ultime


"ô le plus violent paradis"

Libellés

" " (3x4) * & # 111 12 14 24 33T 3X3 4 5 64 64 fleurs de montagne 8 80fleurs A A; A.a.H A.L. A.L.P A.R7 A.S. A1 A10 A2 A3 A4 A5 A6 A7 A8 A9 AB ABDL Abécédaire Aboulafia Abréviations Abrüpt Abruzzo ACC Acker acronyme Actis Actualités ADBP Adorno ADR Adrénaline ADUMC Advaita Agamben Agenda AgnèsMartin Agrafe et boite Ainsité AIR Air du temps akasha Akhmatova AL Alain de Lille Alan Davies Albiach Alchimie Alechinsky Aleph ALF Alferi alien Alina Reyes ALTH AM Amande Ammons Amor fati AN Anagrammes Anaphore Anaximandre Anders André Breton André du Bouchet André Velter Andy Goldsworthy animal animation Annick Ranvier Annonciations Anthologie Antin David AP Aphaïa aphorismes Apollonios aporie Appelfeld Approche APUMM APZ Arago Aram Saroyan Arbres Archéopoésie ArgentOr Aristote Arp Arseguel Art sacré ARTHAUD AS ASDMI ASF Ashbery ASLEND Assez Astrologie Atlantide attente Aurélien Barrau Aurore Automne Auxméry AVB Avec Avent AW axiologie Axiomes Azam B B.Celerier Babel BABIL Bachmann Baies Baigaitu BAM Banal Bandeaux Barque Barré Barry Lopez Barthes Bashô Basque Basquin Bataille Battala BAZAR BDLE BDLF Beaufortain Beckett Beckford Benedetto Bénézet Benoît Labre Benveniste Bergounioux Bernstein bête Bhattacharya bibliographie Bibliothèques bientôt Bimot Binet bio biographie BioMobiles Biopsies Bishop BISSES1 Bivouac Blackburn Blaine Blanc Blanchot Blanqui Blaser Blau Duplessis Bleu Bobin Bochner Bohm boisflotté bord de terre Borges Bouddha Bouthonnier Bouvier Bozier Brautigan Bretagne Bribes Briciole bricoleur Brisset Broodthaers Bruckner Bryen BSRM Butor Byron C C.C C.D.A C.E.T C.F. C.Olson çacest café calcul Camino Campo Cantos Capital Capricorne Captures Carl Andre carnet Carson Carte postale Cartes et globes Carver Casas Cavale cavernes Cazier CCB CCEM CDLP CDLRP CDMDCDD CDN CDRSLS CDS ce ce qui est ceci cela Céline Celui Cendras cequej'aime Cerbelaud cercles Cerf Ceux Cézanne CGJ CH5 chaman Champs chant chant1 Chants et Poésies Chappuis Char chartres Chartreuse Chaton Chemins ChenZhen Chladni Choeur Choisir Chômei Chose Christian Dotremont christo Chu-Ta Ciel Ciel profond Cioran Circé citations civilisations CL Claude Favre Claude Simon Clausewitz CLBC Climat Closky Clouscard CMDOT Code Cole collages coller Collines collobert Combines Côme comme comment Compact compostelle conatus conscience constitution contingence contre conversation Copier Corbeau corpus Cortazar couleur covid CP Cravan Creeley cri CS.PAP CSB CSMM Cummings cut Cut 1 CV Cyber cycle Cyrano CyT D.SNLS Dada DALA Dans Danse Dao Dates DCPC DD DDLR de De Vries Decout DEE definition définitions DEGAULLE Deguy Deleuze Delillo délires Démocrite Denis Roche Déplacement Dérive Derrida Des Déserts Désir Détails Détournement DETQC Dextre DFRC DH DI Diable Dialogues Dickinson Dillard Diogène Divers DJLC DLADLS DLNI DMI DMOAM Domerg Donne Dryas DSDLDS Duchamp DUM Dumond Duncan DUNE Duras Durer Duvauroux DVDC Dworkin E E.Baer E.C E.E. E.O E.P. EA EAIO EB écart énigme Echenoz échos Echos L.A. Eckhart Tolle Eco Ecosse écoute écritures Eddas EDG EDJ EDLCDS EDLF Edmond Jabès EDO EIJS elle ELLEDIT ELLELL Elles Ellul EM Emmerson Empédocle EN ENCORE encres et musique Encres et peintures Ennéade ennui EnSof Entre entrelacs environnement Eons EPE épiphanies épistémologie EPLA ère ERRER Escher ESE Eshleman Esnault ESPA Espace Espitallier essais ét été Etel Adnan ETLPDMP Etna étoile Etymologie Eucharistie Euler évangile Eventail Exergue F F.A. F.EAA F.O F.Pirates FAA Fable Fadeur faits FAJ Faune Fayçal Fengliu feu Fiction Films FiniSol Finkielkraut FIVE FL Flore fmr FNAR Foligno Forest Foucault Fourcade Fourier FP FQPCC Fractales Fragme Fragments France François Cheng Frappat Frémon Fréquences Fugue Fuji Futur G.C.L. G.Luca G.R.I Gary Snyder Gaza GB GDD GDLMC GDT GEGO genese Genet Genji Géologie géométrie géophanie Géopoésie Gervais Geulincx GIA Gif Giffard Giovannoni Girard Giraud Giroux Gizzi Gleize Glossaire GMH Gnoséologie Gobenceaux Godard Godwin Goethe Gombrowicz Gongora Goodman Nelson GOPC GPDB GR54 GR70 GR91 Graal Grâces Gramm gris Grothendieck Guerre Guesdon Guy Debord Guyau Guyotat GVDT GWFH Gygès H H.D. H.P Hadot Haenel haïku Hamant Hamish Fulton Hamon Harms Harrari Hart Crane Hausmann Havet HE Heaney Hécate Hegel Heidegger Henri Michaux Henri Thomas Herbes Herta Müller Hésiode Hesse Heures hexagrammes HFSR HHPC Hikmet Hillesum Hiroshi Yoshida Histoire HM HN HO Hocquard Hofmannsthal Hohl Hölderlin Hominidés homonymies Houellebecq HR. HRC HS HSCDLAE HTH Hubin Hugo Ball Huguenin Hume HV Hymnes orphiques Hypérion hypertexte Hypnos i I remember I.P-B. IA ici idéogrammatique IDLR IFE Igitur il Illuminations illuminer illuminisme ILVLA ilya immédiat immédiatement Impensable impératif imperceptible Impresses Index individu Infini Infinitif initiales inquiétude Insectes installation instant Internet Interrompre invisible Irwin Ishihara Isidore Isis isolato Issa italiques Ivsic J-P Michel J.J.F.W. J.J.U. J.L.P Jaccottet jaime Jakobson Jankélévitch Jardin JAZ JBE JCERDM JDLF JDS JE JE & Jean jean Daive Jean Michel Lou JELRLT Jesuis Jésus jeu JHN Jirgl Joan Mitchell John Cage Jouffroy jour jour17 Journal Jours jours17 Jousse JR Juarroz Jullien JYL K.G K.K Kabîr Kafka Kairos Kaplan Kapoor Kathleen Raine Katué Kawara Kay Ryan KDCN KDICK Keats Kenneth White Kerouac Khazar Khlebnikov khôra Kiarostami Kingsley Kircher KK KLTDD koan Koons Koshkonong Kosuth KOUA Kral Kuhn Kundera Kunitz Kybalion L.A.S L.D. L.R.des Forêts L.S L'EI La Croix La parole de l'autre La vie de la montagne labyrinthe lac Lacs LADR lafabrique Laforgue Lagopède LALELES Lamantin LAME Lapiaz Laporte Roger Larry Eigner latin Laugier Laurent Margantin LBA LCC LCD LCDI LCDP LCI LCR LCS LD LDB LDLH LDM LDMC LDMH LDR LDS LDV Le Clézio Le Livre Le poème LEC LECDF LECLA Lectures LEDUI LEE Lee Ufan LEF légende Leibniz Leibovici Leili Anvar Lely lensball lepoète Les eaux Les empereurs Les fils Les oiseaux lesoi Lespiau Lessing Lettres Lev Rubinstein Lex1 lex2 lex3 lex5 lex7 lex8 Lexie LFDH LFDLP LFDP LFDRT LFMR LFQ LGD LGDE LGDFASP LGDLM LGDP LGPDB LGS LGTDLP LGVDLH LHDD LHS LIDT lieux Lieux-source lièvre Ligne7 lignes Lionel André éclats Lionel André éditions Lionel André encres Lionel André photographies Lionel André randonnées LIQV Lisa Cairns list listes livrelit LJDP LLDLI LLDME LLDO LLDP LLDQ LLL LMDDDLH LMDF LMDLE LMDM LMV LO LOAN LODL LOGOS lois London Lorand Gaspar Lorenzo Menoud Louise Bourgeois Louise Glück LPC LPDLE LPDP LPDS LPI LPM LQDLE LRDD LRDP LRDR LRDT LSDA LSDS LSDV LSMT LSNDLR LTDS LTO LTR LUELADC Lune Lupasco Lus & Mus LV; LVB.TDSDC LVDDP LVDT LVESO LVLTDLO LVMDE Lyn Hejinian Lynn Schwartz M M.Caron M.Craig-Martin M.S.M M.Trinité Ma Macedonio Fernandez Machado Maestri Maggiore Maïakovski Mains maintenant Mais Mallarmé Malrieux Mandalas Mandelstam MANEKINEKO Manganelli Manifeste Manon mantra Manuel Joseph Manzoni Map Marchand Marcheurs Marelle Marie Martin Ziegler Marx Masao Yamamoto masque Massera Matinaux Matsui Matta-Clarck Matton Mauguin maximes MBK MBO MC McCord MCH McLuhan MDA MDC MDLADLE MDLF MDOU MEC Mécanisme Méditations Meillassoux Mélusine mémoire Memories Menus Meraviglia Merci Mercredi Mercure Merton Thomas messages Mesure Métamorphoses Métaphysique Métis Metro MFRC MG Michon micro microcosme mieux Millet Milton Mina Loy Misrahi Miura ori MJNYCR MK monade Mondo Monostiques Monosyllabes Montagnes et Glaciers Montagnes poèmes Montaigne Montale Monteiro Moore Morris mot mots Moving mp3 MPUSPM MSerres MTAS murmure Murphy Murs et Fenêtres Muscle Musil Musique MWLG Mystères MZD N N.M Nabokov Nadja Nagarjuna Nagori Nancy Napoli Narnia Nassim Haramein Nathaniel Tarn Nature Nauman NDBDP NDDP NDLT Neiges Neil Mills Némésis Nerval neuf Nice Niedecker Nietzsche Nirupana NLJNLH NOBUO noeuds Noguez Noir nOmbres Nonnos Norge NOTEPAD Notes-Book Notes-Rapides Notifications NOUS noûs Nouveautés Novae Novalis Novarina NP NPhS NRSNPEM Nuages Nuits O.Pé Oberland objets Objets d'Amérique Oblomov Ockham Octaèdre ODIN ODSI œil OELDT Ogadine Olivier Cadiot OLR OM ON ondes Onfray onthologie Opalka Oph. Oppen OR Oraison Orcia Orphée Orwell Oscar Oscarine Bosquet OSMH oui ours Ovide P.A P.B.Shelley P.L. P.observatoire P.P. P48 Paddle Padirac Pages PalestineIsraël palimpseste Palmer Paolo Icaro papier PAR Para Paracelse Paradis Parant parapoésie parenthèse parfum Parian Paris Parlant Parménide Paroles particules Pascal pasolini Passages Paul Celan Paul Valéry Paysages PB PC PCJDA PDJVS PDLBELM PDLC PDLE PDM Pêche peck peintures numériques L.A. peirce Pennequin Penone PEPDLE Perec performance permaculture Pessoa Peuchmard peut-être PGDR Ph.Beck pharmakon Phi Philippe Grand Philippe Sollers philologie Photographes PHPN Phrases phusis Pi Pierres Pierrette Bloch Pieuvre Pin Pise Pivot Pizarnik Plagiat planètes Plankl Platon Pléonectique Pleynet plongeur Plotin Pluie Plus PM PNQ PNSLTS PO POCP Podiensis poésie Poignant Poindron Points Politikos polygraphe pommes Ponge Pour praxis prénoms prépositions presque Prière Printemps Prokosch Promenade Properce propositions Proust PRYNNE Psaumes PSDUP PTI ptyx PUB puiser puissance Pyramides Pyrrhon PYS qi Qualia quand quantique Quatrebarbes quelqu'un QuelqueChose quelquefois quelquepart question Questions Qui Quignard Quiz quoi Quotidien R.G.Lecomte R.M. R.M.I R.M.T. Rachi Rae Armantrout Raison ram Range Raphoz Raven RBDBB RBLPDT RCETTM RCLSDF RD RDLB Recettes Reclus Refuges et cabanes règles Renaud Camus René Daumal REPA Répétition résumé Rêve Revenir Reverdy Révillon Rexroth Rey Reznikoff Richard Long rien Rilke Rimbaud RIP Ristat Rivières RL.P&J RLP RM.ACDLE Robert Barry Robert Filliou Robert Hainard Robert Lax Rocamadour rocher Rochery Roger Ackling Roman Rome Roses Rosset Rothenberg Rothko Roubaud Roud Routes Rouzier Royet-Journoud RPW RR RSG Rubâï Rueff Rûmî Rumney Runes Ruscha Russes Ruyer RVALP Ryner Ryoko Sekiguchi s S.Tesson sa vie sable Sade sagesse Saigyo Sakaki Saliens SALXI Sam Francis Samivel Sangral sans Sans Titre Santoka Sappho Sator Saturne Savelli Savitzkaya SBL1 SBLI Sbrissa Schlechter Schopenhauer Schurmann Sculptures Sculptures Photographies L.A. SDM Sel selon SELP Seneca Sénèque Sengaï SGM Shakespeare Shitao Shiva Shônagon SI Sicard signal Signes Signets Sikelianos silenc SILENCE Silesius Silliman Simmel Simon Cutts Sinclair singularité Situation Sivan six SJDC Skalova Ski SLFDM soleil solénoïde Solutré Sommeil Sonnets Sons Sor Juana Sôseki Soto Soufi Soufre Soulages Souligne Sous le Pas SP SPHS SPiced Spicer Spinoza Spira spirale sport SPRCGB SPSLSA Squires SSM Stéfan Stein Steiner steppe Stromboli Structure Suarès SUBHDLH Suchère Suel suite Sun Tzu sur Suso sutras Swensen Synchronicité synonymes Synopsis T T.A T.C T.R T.S.Eliot Tabarini Takis Tanizaki tantôt TAOPY Tardy Tarkos TC Tchékhov TDQ TDUESDS TEL Temps Temps probable TeneT Tétralemme TEXTES Thalès Thé Théorie Tholomé Thoreau timbres TINTIN Tissu Titres TLP TN Tocqueville Todtnauberg tomates TOPOS Torque Toscane Toujours TouT TP TP.BN Traces Traduire Trains translucide TRICTRAC Triste époque Tsvetaeva TT TU Tumulte Tunnel Tweets Twillight Typoésie u.p.d.d.v UCCDC UCDD UDP UJAAB UJAJS Ukraine ULDL ULDLLA Ulysse UMO UMP UN UNM unmot UPDS UPSA usura UVD V V.E V.I. V.Kh V.P. VALC Valet vazquez VDSJ VE Véda Vegan vélo VEMDIL Venet Venise Vents VERBES Vercors vérité Verlaine Verne verre Vert vertical Vésuve Vézelay VGE Vico Victoria Hanna vide Vidéo Vilgrain Virgule visage Viton vitraux VJ VO voici Voies voilà voix volcan Voluspa Volut Von Aesch Vous Voyelles Vulcano W W.Benjamin W.I.P. W.S Wable Wagô Wajcman Waldman Waldrop Wallace Stevens Walser WB WBY wcw webasso Webcams Wermer Lambersy Werth WGJ WilliamBlake Windows Wittig Wolfgang Laib Wolfson wolman Woolf ww. WWFDH Xardel Xénophon Xu Xiake xxx Y.B Yanka YDM YISANG YOGA Zagdanski ZANZOTTO Zeit Zéno Bianu Zéro Zététique Zinoviega Zoom Zukofsky Zürn

Archives du blog