le solitaire et la nature sont réversibles
le ruisseau chante
en mémoire.
c’est lui-même qui s’invente
mon problème est chimique
je compose
je dispose
dans cet échange
une chanson devient symphonie
il y a transfusion
changement de mode d’être
voilà tout
les fleurs
leurs pétales sont en fait idéogrammes
au printemps
une mélodie s’inscrit sur le monde
l’adieu est d’amour et pas d’amertume
rien que du vent
Das Lied von der Erde
le chant de la terre