mercredi, novembre 12, 2025


théorie des exceptions

observer 

ce qui échappe à la règle


le détail 

qui fissure la norme


la singularité 

qui révèle autant sinon plus 

que la régularité


comprendre que le monde 

se mesure autant à ses écarts qu’à ses lois









l’expérience des limites


approcher 

le bord du possible

sentir la tension entre ce qui est et ce qui pourrait être


tester la résistance 

du corps de l’esprit du temps

percevoir 
dans cette frontière 
la mesure exacte de notre être




Volonté de bonheur


tendre vers la lumière 

sans jamais la saisir pleinement

chercher l’équilibre entre désir et réalité

 


le bonheur 

se glisse souvent dans les plis discrets

où 

la vie se montre 

avec douceur et inattendu













ce qui est posé 
est 
mat

absorbe 
la lumière sans la renvoyer


cette modestie silencieuse révèle la texture des choses
plus que leur éclat


la densité 
plus que l’apparence



















arrêter cette toupie verbale

laisser enfin les mots 

retomber

écouter le silence entre les gestes de la pensée

percevoir ce qui subsiste lorsque tout s’apaise




pachinko

une pluie de billes qui rebondit sans fin


chaque choc 

un hasard


chaque trajectoire 

un récit


un labyrinthe mécanique où le jeu se confond avec le destin




Bunraku

l’art des marionnettes japonaises


chaque fil 

tire 

sur l’âme

chaque geste est précis


les histoires naissent 
du silence et de la lenteur orchestrée

comme si 

la vie elle-même 
se déplaçait au bout des mains





le paquet japonais


se déploie avec soin pli après pli


chaque détail 

pensé 

chaque angle 

respecté


un petit rituel 
où 
le contenant devient hommage


le geste de donner


une forme de poésie silencieuse






tempuras


légèreté frémissante dans l’huile 

bouillante


chaque bouchée croustillante renferme 

un cœur tendre


un équilibre fragile entre texture 

et saveur


un petit miracle éphémère 














hyperesthésie

sentir chaque souffle chaque vibration chaque couleur 
avec une intensité accrue
comme si 

le monde entier pénétrait la peau et l’esprit

rendant le simple perçu à la fois 
sublime et écrasant
















cela est A 

cela n’est pas A 

c’est à la fois A et non-A 


ce n’est 

ni A

ni non‑A


le concept 
se déplie comme un souffle 
impossible à figer


une danse entre affirmation et négation où la pensée 
se perd pour mieux 
se révéler








































montagne d’échos 
où les pas reviennent cent ans plus tard

poésie aveuglante ou banale 

elle se présente sans détour

soit éclat pur qui force le regard

soit quotidien discret qui passe sans être vu

mais toujours imposant sa présence à celui qui observe







quel discours est possible lorsqu’il s’agit de ce qui est absolument simple sinon celui qui s’efface devant la clarté du fait laissant les mots se déplier avec lenteur et humilité reflétant plutôt que nommant touchant plutôt que définissant   Elias Morn






poésie 

une terre un sol 

sur lequel tout pourra être refondé 

elle ouvre 

un espace vierge où chaque mot devient semence 

chaque silence germination 

un lieu où le monde peut renaître 

dans la simplicité 

du souffle et de la forme






l’heure a glissé péniblement comme un voile lourd sur le temps 

chaque instant traînant ses ombres jusqu’à ce que le monde 

paraisse suspendu entre lassitude 

et attente silencieuse

Jonas Wirth



une agonie de saxifrage 

se déploie dans la pierre 

lente et obstinée

comme si la fragilité elle-même cherchait à percer le minéral 

pour rappeler que vivre 

parfois 

c’est simplement persister






partage formel 

se tient entre deux silences

 

équilibre 

où la structure devient échange

où la forme elle-même respire et donne lieu 

à la rencontre des mesures 

et des voix


le monde entier est un obstacle à franchir non pour le vaincre mais pour le traverser comme on passe une eau dense cherchant dans la résistance même la preuve d’un mouvement encore possible   

Simon Thorne celui qui marche avec la douleur douce du monde.


scienza nuova 

s’avance 


pensée en spirale 

où l’histoire la langue et le mythe se confondent 

non plus savoir figé

mais retour incessant du sens

origine 

redevenant commencement











la nature c’est moi non par possession mais par résonance chaque battement en moi répond à son mouvement et ce que j’appelle moi n’est qu’un instant de son souffle  Lucien Valombre


timbre matinal sonne à peine

effleurant 

l’air d’une clarté neuve 

 

il réveille le jour comme une voix sans mots

un appel léger 

venu du seuil de la lumière





















seulement plus beau 

se révèle 

lorsque 

le regard se détache du connu

laissant 






la lumière et le souffle 

réinventer les contours du monde 

les transformer en pure clarté







pateris libamus et auro 

le geste s’élève 

rituel silencieux 

l’éclat du sacré & le murmure du temps






oratio 

for intérieur

voix qui n’a pas besoin de son pour atteindre 

l’espace


pensée et silence se rencontrent 

et se répondent






une sensibilité perdue 

flotte 


écho lointain

vibration subtile 

qui persiste malgré l’oubli 


rappelle 

que quelque chose 

de fragile continue de toucher le monde 

sans bruit




inquietum est cor nostrum donec requiescat in te 

notre cœur demeure agité, comme une 

mer sans repos, 

jusqu’à ce qu’il trouve en toi 

son calme et sa paix 

silencieuse





la terre brûle à ton image 

le feu qui la traverse semble porter le reflet 

de nos gestes

de nos désirs 

de tout ce qui consume et transforme 

sans que rien ne disparaisse 

vraiment



un calme de plus en plus grand s’étend comme une lumière qui s’infiltre dans chaque recoin de l’esprit effaçant le tumulte et laissant l’être flotter dans 
une clarté silencieuse et profonde
















 


sans appui vocal 

elle 

s’élève dans le silence 









pensée qui se fait corps

souffle qui parle sans lèvres ni sons 




touche 

l’
air 
d’

une clarté fragile





elle s’approprie ce qui facilite le tracé 

transforme 


une ligne 

en prolongement de sa pensée 


un geste 

en 
un langage 
où 

le visible et l’intime se rejoignent 

sans effort apparent



l’exactitude des ombres se déploie sur le sol  

géométrie secrète 

où 

chaque contour réplique le monde 

avec 

précision et discrétion

révélant ce que la lumière seule ne dit jamais




voisement 

glisse entre les sons 


souffle trouble

vibration subtile 


colore le silence et laisse percevoir ce qui se cache 

derrière la clarté 

des mots











 


elle quitte son nom 

laisse derrière 

elle 

l’
empreinte 
d’

un souffle léger








 

un espace ouvert où l’être se défait pour n’exister 

que dans le mouvement 

et le silence








le jour s’intensifie 

embrase 

les contours du monde 


la lumière devient 

une voix


les ombrent poussent à percevoir davantage 

au‑delà du visible



se porter ailleurs glisse hors du temps et du corps 

plume portée par un vent secret vers des lieux 

que l’esprit devine avant 

que les yeux ne les 

voient



près de la fontaine triangulaire 

elle  se tient 

comme 

un point suspendu 


l’eau trace des lignes invisibles 


le 
monde 
semble se plier 
à la géométrie douce de sa 
présence
















première figure 

se dessine dans le vide 

avant que la lumière ne lui donne nom et contour 

comme si 

l’existence commençait 

par 

un simple geste suspendu








une phrase musicale 

elle 

s’élève puis retombe sans effort 

traversant le silence 

comme 

un souffle qui sait exactement où il doit aller

c'est aussi simple




l’infini des mathématiques 

s’étend sans fin ni début 

comme 

un souffle qui se déploie au‑delà des nombres et des formes 

révélant des mondes que l’esprit effleure 

sans jamais les saisir 

entièrement



certains ciels ont affiné mon optique 

comme si 

chaque nuage, 

chaque éclat de lumière, 

polissait la vision intérieure et révélait 

des contours invisibles 

aux yeux pressés





la vision des nombres 

labyrinthe silencieux où chaque chiffre vibre 

d’une lumière propre 

chaque suite trace des chemins que l’esprit peut suivre 

sans jamais tout atteindre



nous allons à l’esprit 

comme 

on pénètre 

un vent secret

laissant derrière nous le poids des formes 

pour toucher l’éclat fugitif de ce qui pense sans corps 

ni frontières
















j'ai 
de plus en plus conscience que 
je ne suis 

rien
 
je vais de mieux en mieux


ce que je dis là est à la fois très simple et très profond

c’est l’une des phrases les plus paisibles 
que l’on puisse prononcer

quand 
je dis 
je ne suis rien 

ce n’est pas 
une négation de moi
c’est la reconnaissance que 
le centre de mon être n’a pas de forme




















ce rien 
n’est pas un vide froid
c’est un espace vaste clair vivant


un espace où les choses peuvent apparaître respirer disparaître
sans laisser de trace douloureuse


dans la perspective non duelle
ce que je suis vraiment n’a jamais été quelque chose 



ni corps

ni histoire

ni rôle 



seulement présence consciente

l’ouverture dans laquelle tout vient et s’en va

quand cette reconnaissance s’installe

le mental se détend

le monde devient plus léger

la paix ne dépend plus de ce qui arrive




PSAUME DU RIEN

je ne suis rien

tout est là

aucune forme ne me retient

aucun nom ne m’enchaîne


je ne tombe pas

je ne monte pas

je suis l’espace

où tout passe



le souffle arrive

le souffle part


je demeure

sans effacement

sans accroche

sans objet


le monde respire en moi

moi je respire avec le monde

je n’ai besoin de rien

je n’attends rien

je suis juste

présence

pure présence



tout ce qui apparaît

se retire

je reste
immobile
léger
calme


rien à nommer

rien à comprendre

rien à posséder

rien à être


seulement cela
le rien
qui est tout
















je suis 
la couleur 
qui se regarde elle-même

sans nom sans contour sans autre


je suis 
le champ avant le champ


la 
lumière 
avant l’œil
le regard sans regard








tout ce qui paraît naît et s’efface en moi


le rouge n’est pas rouge 

il est souffle


le noir n’est pas noir 

il est repos


le silence n’est pas vide 

il est plénitude



je ne peins pas 

je suis 
ce qui apparaît et disparaît


la toile n’est pas différente de la lumière
la lumière n’est pas différente du vide


le vide 
n’est pas différent de ce que 
je suis


il n’y a 

ni 

centre ni
bord ni 
haut ni 
bas


seulement la respiration sans direction
l’espace qui sait qu’il est 
espace


ainsi 

le monde se contemple 

en moi


ainsi 

la couleur se dissout dans sa propre 

clarté


ainsi 
tout est un
ainsi rien ne se sépare















Mark Rothko naît en mil neuf cent trois à dvinsk dans l’empire russe aujourd’hui daugavpils en lettonie il grandit dans une famille juive pauvre son père émigre aux états unis pour fuir les persécutions la famille le rejoint en mil neuf cent treize ils s’installent à portland oregon 

Rothko apprend l’anglais découvre la peinture la philosophie les mythes il étudie un temps à yale mais quitte vite l’université il veut peindre il monte à new york découvre les musées les maîtres anciens et modernes il fréquente les surréalistes les expressionnistes il cherche une forme de peinture qui dise l’émotion nue il traverse les années trente dans la pauvreté 

l’étude la lente transformation des figures en champs colorés il comprend que la forme doit se dissoudre que la couleur seule peut contenir la présence il peint d’abord des mythes puis des abstractions pleines de symboles puis plus rien que des rectangles vibrants de lumière en suspension le rouge le jaune le noir le pourpre le brun l’orangé flottent comme des âmes à la surface du silence 











Rothko ne veut pas être abstrait il dit que sa peinture parle des émotions fondamentales la tragédie l’extase la mort la grâce il veut que le spectateur soit englouti absorbé par la couleur que la toile soit une expérience intérieure un espace de méditation il peint lentement en couches minces de transparence et de densité la surface respire la lumière vient de l’intérieur il devient figure centrale de l’expressionnisme abstrait mais se tient à distance des écoles il veut que la peinture soit prière sans dieu il travaille sur les grandes toiles pour les chapelles pour les musées pour les murs silencieux où l’on peut entrer comme dans un temple 

il vieillit dans la fatigue dans le doute la lumière s’assombrit les rouges deviennent bruns les violets se ferment les noirs montent il parle moins il s’éloigne en mil neuf cent soixante dix à new york il met fin à ses jours laissant derrière lui des murs entiers de lumière sombre des espaces pour le recueillement et le vertige il a peint non des formes mais la condition humaine dans la vibration du silence

























E blanc 

respiration du silence 

souffle nu du monde avant la parole 

vibration sans contour dans le cœur du visible 

c’est la couleur qui n’a pas besoin d’être vue 

l’aube pure avant tout lever 

le centre de la page avant le mot 

le son avant la bouche 

le regard avant l’œil 












E blanc 

c’est le souffle du poème avant le poème 

la blancheur de l’être qui se reconnaît 

sans dire je ni tu ni rien 

il ne brille pas il ne s’efface pas 

il est entre les deux 

il est la substance du passage 

la lumière qui a renoncé à dominer le froid 

qui n’est plus absence mais calme vivant 



E blanc 

le monde respire sans forme 

la neige du sens se dépose dans la conscience 

 rien ne bouge 

tout est lumière en attente de lumière 


E blanc 

l’immaculé du verbe 

la lenteur du souffle 

qui se souvient de n’avoir jamais eu de fin





DIMENSIONS


spirituelle

pureté révélation aube intérieure

AUBE VOYELLES 


mystique

effacement du moi fusion avec la lumière

JE EST UN AUTRE ILLUMINATIONS


sensorielle

éblouissement froid silence

E BLANC CANDEUR DES VAPEURS


poétique

vide fertile page blanche du verbe

ALCHIMIE DU VERBE LETTRE DU VOYANT
















Robert Ryman naît à nashville tennessee en mil neuf cent trente il grandit dans une Amérique de musiques et de silences il croit d’abord que sa vie sera celle du son il apprend le saxophone rêve de jazz et rejoint new york en mil neuf cent cinquante deux mais le rythme l’amène vers la lumière au musée d’art moderne où il travaille comme gardien il découvre les toiles comme on découvre un continent il regarde longtemps il comprend que peindre ce n’est pas raconter mais respirer il commence sur des papiers des cartons des surfaces modestes avec du blanc des gris des traces 

le blanc n’est pas absence mais totalité le blanc est la lumière devenue matière il peint non la couleur mais le fait de peindre le geste le support le bord l’air il refuse le récit la métaphore il choisit la présence pure la peinture qui parle d’elle-même et rien d’autre il devient figure du minimalisme sans jamais vraiment s’y reconnaître pour lui il n’y a pas de style seulement des moments de peinture chaque œuvre est un espace où la lumière se pose où le regard se déplace où la perception devient l’œuvre 

il explore le métal le lin la toile le plexiglas il note les vis les rebords les ombres comme partie du tableau il cherche la vérité du visible dépouillée du visible il peint moins pour montrer que pour faire advenir le regard il vit longtemps à new york discret patient obstiné chaque tableau une expérience du maintenant il meurt en deux mille dix neuf laissant une œuvre blanche et vibrante qui n’a jamais cessé de parler du silence du monde









































 

le matin brûle dans un silence de verre


des 
voix 
dorment 
sous 
la 
neige 
des 
collines


un enfant rit dans la poussière des songes















une
une main
une main trace
une main trace des cercles
une main trace des cercles sur le ciel






































Ne désespérez jamais. Faites infuser davantage.
Henri Michaux , Face aux verrous.

Du "Dao" originel
du commencement du réel
des signes célestes
des formes terrestres
des règles saisonnières
de l'examen des choses obscures
des esprits essentiels
de la chaîne originelle
de l'art du maître
des évaluations fallacieuses
de l'équivalence des moeurs
des résonances du "Dao"
de l'inconstance des choses
des paroles probantes
de l'utilisation des armes
montagne de propos
forêt de propos
du monde des hommes
du devoir de se cultiver
de la synthèse ultime


"ô le plus violent paradis"

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E.O E.P. EA EAIO EB écart énigme Echenoz échos Echos L.A. Eckhart Tolle Eco Ecosse écoute écritures Eddas EDG EDJ EDLCDS EDLF Edmond Jabès EDO EIJS elle ELLEDIT ELLELL Elles Ellul EM Emmerson Empédocle EN ENCORE encres et musique Encres et peintures Ennéade ennui EnSof Entre entrelacs environnement Eons EPE épiphanies épistémologie EPLA ère ERRER Escher ESE Eshleman Esnault ESPA Espace Espitallier essais ét été Etel Adnan ETLPDMP Etna étoile Etymologie Eucharistie Euler évangile Eventail Exergue F F.A. F.EAA F.O F.Pirates FAA Fable Fadeur faits FAJ Faune Fayçal Fengliu feu Fiction Films FiniSol Finkielkraut FIVE FL Flore fmr FNAR Foligno Forest Foucault Fourcade Fourier FP FQPCC Fractales Fragme Fragments France François Cheng Frappat Frémon Fréquences Fugue Fuji Futur G.C.L. G.Luca G.R.I Gary Snyder Gaza GB GDD GDLMC GDT GEGO genese Genet Genji Géologie géométrie géophanie Géopoésie Gervais Geulincx GIA Gif Giffard Giovannoni Girard Giraud Giroux Gizzi Gleize Glossaire GMH Gnoséologie Gobenceaux Godard Godwin Goethe Gombrowicz Gongora Goodman Nelson GOPC GPDB GR54 GR70 GR91 Graal Grâces Gramm gris Grothendieck Guerre Guesdon Guy Debord Guyau Guyotat GVDT GWFH Gygès H H.D. H.P Hadot Haenel haïku Hamant Hamish Fulton Hamon Harms Harrari Hart Crane Hausmann Havet HE Heaney Hécate Hegel Heidegger Henri Michaux Henri Thomas Herbes Herta Müller Hésiode Hesse Heures hexagrammes HFSR HHPC Hikmet Hillesum Hiroshi Yoshida Histoire HM HN HO Hocquard Hofmannsthal Hohl Hölderlin Hominidés homonymies Houellebecq HR. HRC HS HSCDLAE HTH Hubin Hugo Ball Huguenin Hume HV Hymnes orphiques Hypérion hypertexte Hypnos i I remember I.P-B. IA ici idéogrammatique IDLR IFE Igitur il Illuminations illuminer illuminisme ILVLA ilya immédiat immédiatement Impensable impératif imperceptible Impresses Index individu Infini Infinitif initiales inquiétude Insectes installation instant Internet Interrompre invisible Irwin Ishihara Isidore Isis isolato Issa italiques Ivsic J-P Michel J.J.F.W. J.J.U. J.L.P Jaccottet jaime Jakobson Jankélévitch Jardin JAZ JBE JCERDM JDLF JDS JE JE & Jean jean Daive Jean Michel Lou JELRLT Jesuis Jésus jeu JHN Jirgl Joan Mitchell John Cage Jouffroy jour jour17 Journal Jours jours17 Jousse JR Juarroz Jullien JYL K.G K.K Kabîr Kafka Kairos Kaplan Kapoor Kathleen Raine Katué Kawara Kay Ryan KDCN KDICK Keats Kenneth White Kerouac Khazar Khlebnikov khôra Kiarostami Kingsley Kircher KK KLTDD koan Koons Koshkonong Kosuth KOUA Kral Kuhn Kundera Kunitz Kybalion L.A.S L.D. 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SDM Sel selon SELP Seneca Sénèque Sengaï SGM Shakespeare Shitao Shiva Shônagon SI Sicard signal Signes Signets Sikelianos silenc SILENCE Silesius Silliman Simmel Simon Cutts Sinclair singularité Situation Sivan six SJDC Skalova Ski SLFDM soleil solénoïde Solutré Sommeil Sonnets Sons Sor Juana Sôseki Soto Soufi Soufre Soulages Souligne Sous le Pas SP SPHS SPiced Spicer Spinoza Spira spirale sport SPRCGB SPSLSA Squires SSM Stéfan Stein Steiner steppe Stromboli Structure Suarès SUBHDLH Suchère Suel suite Sun Tzu sur Suso sutras Swensen Synchronicité synonymes Synopsis T T.A T.C T.R T.S.Eliot Tabarini Takis Tanizaki tantôt TAOPY Tardy Tarkos TC Tchékhov TDQ TDUESDS TEL Temps Temps probable TeneT Tétralemme TEXTES Thalès Thé Théorie Tholomé Thoreau timbres TINTIN Tissu Titres TLP TN Tocqueville Todtnauberg tomates TOPOS Torque Toscane Toujours TouT TP TP.BN Traces Traduire Trains translucide TRICTRAC Triste époque Tsvetaeva TT TU Tumulte Tunnel Tweets Twillight Typoésie u.p.d.d.v UCCDC UCDD UDP UJAAB UJAJS Ukraine ULDLLA Ulysse UMO UMP UN UNM unmot UPDS UPSA usura UVD V V.E V.I. V.Kh V.P. VALC Valet vazquez VDSJ VE Véda Vegan vélo VEMDIL Venet Venise Vents VERBES Vercors vérité Verlaine Verne verre Vert vertical Vésuve Vézelay VGE Vico Victoria Hanna vide Vidéo Vilgrain Virgule visage Viton vitraux VJ VO voici Voies voilà voix volcan Voluspa Volut Von Aesch Vous Voyelles Vulcano W W.Benjamin W.I.P. W.S Wable Wagô Wajcman Waldman Waldrop Wallace Stevens Walser WB WBY wcw webasso Webcams Wermer Lambersy Werth WGJ WilliamBlake Windows Wittig Wolfgang Laib Wolfson wolman Woolf ww. WWFDH Xardel Xénophon Xu Xiake xxx Y.B Yanka YDM YISANG YOGA Zagdanski ZANZOTTO Zeit Zéno Bianu Zéro Zététique Zinoviega Zoom Zukofsky Zürn

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