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Opéradiques L'Opéra dépaysan est en déplacement. On y planche sous des rouleaux de pluie, des nuages pédagogues. L'art plusieurs aux cinq sens travaille la rhumanité. Ekphrases, les poèmes dramatiquent les liens durs entre les formes du chaos. Des efforts directionnels et bandés disent le tunnel ou labyrinthe bruyant, ruines circulaires inversées sous la scène, actions pliées, que dictent des guerres matérielles datées et les immatières du droit. Les Opéradiques (Pré-danse, Musicole, Penturage et Pagisme. impersonnages arqués) brèchent le mur qui abrite un contentieux sensible et des jugements enveloppés. Art Plusieurs est le héros discret qui tranche des dépendances à la Panthère Formante et d'impuissances au calme dormant dans la densité. Le livre est parquet-rossignol, plancher sillonné et enroué ouvrant sa trappe : le tunnel attend des lampes défleuries. Chaque forme frottée joue dans la nuit relative. La guerre au nerf optique recommence toujours, avec les ambitions. Les arts ne se donnent pas la main : l'insociable sociabilité se tend en chacun, rhybride, couvert et entouré. Par boustrophes, reptations, documents striés, échos et mots dégelés.
D'où l'avenir d'un siècle à mains
sous les toits pivotés.
Ph.Beck
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Tiphaine Samoyault
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Philippe Beck lit
Mots gelés
ici
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