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peut représenter un mouvement
de l’extérieur vers l’intérieur
de la forme à la contemplation
de l’espace à l’absence d’espace
du temps à l’absence de temps
de la multiplicité à l’unité
Le labyrinthe
devient l’image d’un chaos initial ordonné
et agencé par l’intelligence humaine.
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Jusqu’à la Renaissance, les labyrinthes de déambulation étaient un objet de spiritualité et ne se trouvaient que dans les édifices religieux. Ce n’est qu’à partir du 15e Siècle que des méandres de bosquets se répandent dans de nombreux jardins d’Europe apportant au labyrinthe une dimension profane : le plaisir de se perdre.
L’essence même du labyrinthe est de circonscrire dans le plus petit espace possible l’enchevêtrement le plus complexe de sentiers et de retarder ainsi l’arrivée de l’explorateur au centre qu’il veut atteindre.
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