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Il est alors une alchimie singulière, où l'élixir n'est que l'image de l'absorption, par l'homme convenablement préparé, de la liqueur d'un temps sans commencement ni fin, s'écoulant dans un présent permanent, éternel, or du temps, dans un présent qui, paradoxes des paradoxes, ne reste le même qu'en devenant toujours autre dans une éternelle nouveauté, une éternelle adolescence.
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L.A. photographies, Val d'Elsa, juin 2011
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