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fin d'après-midi
lecture-looove
votre
famille
ne me doit rien
Avec tout
le respect que j'ai pour elle
je crois avoir
songé uniquement
à vous...
Vous êtes
trop généreuse
pour vous jouer
de mes sentiments
Si les vôtres
sont les mêmes
qu'au printemps dernier
dites-le-moi tout de suite
Les miens n'ont pas varié
non plus que le rêve que j'avais
formulé alors
Mais un mot de vous
suffira pour m'imposer le silence à jamais.
*
Là,
Elizabeth est
à bout de souffle
elle dit oui
et nous avec
Les deux
amoureux s'avouent
l'un à l'autre
leur intolérance
leur maladresse
leurs
sentiments boursouflés
d'orgueil
et de préjugés
n'est repris que ce qui
coïncide étonnamment avec
la vie de l'auteur
Evidemment
.