Hölderlin, dans une phrase bleue pour toujours, appelle les dieux grecs " les vivants, les bienheureux taciturnes ". On plaindra donc les morts vivants d'ici-bas, les malheureux bavards.
°
Le temps qu'on nous inflige
n'est pas celui que je dis.
°
Sourions, donc. Le jour est toujours nouveau.
Ph.S.
°
L.A. photographie, le clocher de l'église St. Pierre
(Villard S/Doron) un peu avant midi !
2 commentaires:
Je n'ai même pas eu le temps de corriger mes fautes d'orthographes, j'ai juste prononcé, relu mon cahier aussi, à l'instant meme, et envoyé. Soyons plus fins, plus dans le temps, je vous envoie la copie juste, le miroir. Après celui-ci. Merci (cette fatigue que je vous cause, qu'elle soit jeunesse, apprenti-ssage)
(le mot que me demande le service de ce blog, est phonétiquement, musicalement, le même qu'en arabe dit "j'ai oublié", ansit)
Printemps d'hiver
*
A main
Le cahier
à la portée de mes mains
que lorsqu'il y a
quelque chose
A dire
*
Mozart
Le grand midi de la musique
Presque insupportable, inhumain
Capable d'un impossible possible
Ecouter Bach
Rêver Stravinsky
Croire en Dieu
Croire qu'il est fou
de Joie
*
Pour voir
le mouvement
la quiétude
s'impose
Depuis
le mouvement
la quiétude
seule visible
*
Montres-moi les limites à dépasser de mon ignorance
et je te suivrai
*
L'eau, le feu, l'air
ces êtres
sans ombre
ils sont
l'Ombre
(un certain F)
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