lac
chemin
Pouillot véloce & Pinson
marche lente accompagnée
clouclos
enclos
trèfle d'eau
mousse racine fourmilière
souche & sphaigne
Sa joie est de tout temps, pareille à la verdure impérissable des pins qu'il aime
La grande légèreté est là
je me dégage du bavardage
et j'oublie les intrigues
la vue n'est pas troublée
partout l'écho résonne et la forge immense oeuvre jour et nuit,dispensant ses dons.
J'aperçois la montagne du sudorage d'été
le son de l'averseaccordé au coeur de l'ordinaire
Il s'arrête maintenant et fixe le sol à ses piedspeu importe le thé amer
déjà pleine de rose là-haut la neige luit.
Un homme est prisonnier dans une chambre, dont la porte n'est pourtant pas verrouillée , si celle-ci s'ouvre vers le dedans et qu'il ne lui vient pas à l'idée de tirer au lieu de pousser. ( Ludwig Wittgenstein, remarques mêlées)
°
sous le pas avec Hölderlin
1 commentaire:
Lionel André
Merci de m'avoir mis en lien.
Impoossible de vous joindre par mail ?
avec plaisir
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