la joie ?
Le feu divin lui-même, nuit et jour, s'efforce vers un
brusque
Embrasement.
...Là-bas dans le pays de l'Olympe, à la cime du Cithéron
là-bas,
Là-bas parmi les pins, parmi les pampres d'où voiciThèbes
Et le fleuve Ismènos bruire, et la fontaine de Dircé,C'est là d'où vient, c'est là ce que désigne à son tour
le dieu proche !
°
Hölderlin
le pain et le vin (3)
2 commentaires:
L'éclair et le pin
J’ai poussé plus haut que l’homme et l’animal,
Et si je parle, - nul ne me parle, à moi.
J’ai poussé trop solitaire et trop haut :
J’attends : qu’est-ce donc encor que j’attends?
Le siège des nuages est trop près de moi, -
Ce que j’attends, c’est le premier éclair.
Hiver 1882-1883
Friedrich Nietzsche, Poèmes et fragments poétiques posthumes (1882-1888)
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