On hissa les voiles et l'on gagna la haute mer.
Le vent se mit à souffler plus fort ; le temps devint âpre et propice et
le vaste navire vogua sur les flots. Alors Egill dit :
" Terrible et sans relâche le souffle furieux de la tempête
de son ciseau mordant travaille
les flots glacés, devant la proue,
sur le chemin que parcourt le bateau.
Le vent glacial sans pitié
assaille l'embarcation
de coups impétueux
par-dessus l'étrave..."
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