nous sommes avides
d'assister au jour,
et, l'épreuve aussitôt
à travers nos genoux accomplie,
se devine le vacarme dans la forêt.
Mais nous
chantons, dès l'Indus
arrivés ici enfin, etde l'Alphée aussi,
avons longuement,
le Lieu, nous, recherché.Nul, sans ailes, n'a le pouvoir
de saisir ce qui est proche,
de plain-pied,
passer à l'autre bord.
Mais nous voulons ici même bêcher.
Car des fleuves vouent cette terre
au labour. Oui, lorsque l'herbe pousse,
et que viennent à leurs bords,
pour boire, les bêtes en été,
viennent aussi des hommes
.
Celui-ci, mais on le nomme l'Ister.
à même la beauté il habite.
H
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