les nymphéas, claude monet
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Les reflets bleus mêlés au zénith et de l'horizon dans les eaux lentes qui les brassent et les caressent, Monet les a repris et magnifiés. Ses nymphéas de l'orangerie ne sont qu'un vaste ciel où se déploient, se colorent, rutilent dans la brume et se dilatent les nuages. Leurs métamorphoses s'accompagnent des jeux de la luisance et des teintures fertiles. Ils s'y trempent, émergent, parcourent les nuances de l'arc-en-ciel, parsemés de floraisons. Le temps d'un éclat pulvérulent entre deux éclipses...
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source, André Ar Vot,
cent vues de l'enclos des nuages
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