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Comment les yeux doivent-ils regarder la nature ?
Pour Ruskin,
la réponse ne fait pas l'ombre d'un doute
:la réponse ne fait pas l'ombre d'un doute
" Il n'y a pas de moyen aussi absolu et infaillible de mesurer notre connaissance de la nature que le degré d'admiration que nous ressentons pour la peinture de Turner. Dans la mesure exacte où nos connaissances sont superficielles, où notre sensibilité est vulgaire et notre perception des principes étroites, les oeuvres de cet artiste nous paraîtront incompréhensibles et absurdes ; dans la mesure exacte où nous sommes familiers de la nature, où nous l'observons avec constance, et où nous en avons une large intelligence, elles s'épanouiront en gloire et en beauté sous nos yeux..."
John Ruskin, modern painters vol. 1, 2è partie, " de la vérité ", 6è section chap.2
William Turner, soleil couchant sur un lac vers 1840-1845
huile sur toile 91,1x122,6, Tate Britain
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