Aujourd'hui
je célébrerai par le chant
ta ressemblance...
Ne tremble pas d'angoisse devant le seuil que tu t'apprêtes si mal à franchir... Approche toi du non-être... Et en homme de bonne foi, salue-la cette vie que tu perds ... Délaisse en chantier les feuilles qui encombre ta table... Parler aura toujours eu trop ou trop peu de sens... N' aie pas peur de regagner le vide le plus simple... Tenant bon et se tenant pour battu...Il refuse la mort inscrite sur son front.
Son timbre vibre encore au loin
comme un orage dont on ne sait s'il se rapproche ou s'en va.
comme un orage dont on ne sait s'il se rapproche ou s'en va.
L.R. des Forêts (et encore merci à M.Z.)
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