°
Alpes de sûre assise !
Vous qui
,
Et vous, calmes contemplatrices, ô montagnes
Où sur la pente aux frondaisons touffues
La forêt-noire élève son soupir,
Où les sapins versent le tiède
Arôme de leur chevelure,
°
Hölderlin
traduction de Gustave Roud
Lionel André / promenades / randonnées / arts / littératures / air du temps
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