Vingt-quatre heures, l'été
douze heures
.A douze, le temps s'arrête.
C'est comme un souffle coupé
où tout tremble, se dissout.
Les choses perdent leur nom.
La cime de la lumière
est l'image du désir,
cette vibration unique
des corps, de l'instant, des fruits.
Le feu brûle sans brûler.
On ne compte plus. On sait
qu'on est là, que c'est le centre,
la passion de l'équilibre
.
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