Kafka
écrit ainsi dans le Journal de 1910
j’aurais dû être
ce petit habitant des ruines
qui prête l’oreille aux cris des choucas
ce réseau symbolique est associé à la mort la ruine l’absence de communication et à la solitude du paria auquel Kafka s’identifie toute sa vie durant
on ne peut pas parler avec les nomades ...
pour se comprendre entre eux
ils crient comme
les choucas…
on ne cesse d’entendre ces cris de choucas
nos mœurs et nos coutumes
sont aussi incompréhensibles qu’indifférents
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