il est difficile de percevoir la colossale innocence des habitants terrestres Ils n’ont rien à faire là ils ne sont que les produits de séries de malentendus entre les hommes et les femmes et quels que soient leurs délits même criminels
Kafka
écrit quelque part qu’il n’a cessé toute sa vie de se promener d’aller et revenir entre quelque chose qui serait une solitude totale et une vie en commun qu’il n’a jamais été repérable ni dans l’une ni dans l’autre qu’il a toujours vécu cette frontière entre la solitude et la vie en commun Cette frontière prend de toutes les manières la forme d’
une feuille de papier
Pautrel
dans un recueil d’hommage à
Sollers
lui a écrit
le vrai corps est un texte
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