tu parles toujours à partir
d’un silence contre lequel tu te briseras
il n’y aura jamais eu
derrière et devant nous que le même silence
le premier
//
je crierai dans ma solitude
non pour réveiller ceux qui dorment
mais pour que mon cri me réveille
de mon imaginaire captif
Edmond Jabès // Mahmoud Darwich
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