avec le soleil couché
la mer silencieuse
arrive à peine
à toucher
le rivage
la terre est un souffle
de fumée
azurine
d’où surgissent les hirondelles ivres
les ailes en arrière
qui est d'
un bleu pâle
un regard pâle
azurin
azuré
bleu
azur
azuréen
bleuté
j’ouvre les yeux
je me lève
dans la maison profonde et silencieuse le calme
de la pièce à l’abandon
je reste là sans rien faire
très longtemps
j’aime tuer le temps
immatériel aujourd'hui m'a dit le support
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