je vois l’océan
avancer sur la rive
&
le sol ferme
gagner le domaine de l’humide
l’abondance
croissant en perte
et la perte en abondance
hâte-toi
mon ami tu n’as pas
tant à vivre
je te rebats ce mot
car
il vaut tout
un livre
Jouis
bien purs
présents du Ciel qui naissent
sous les pas
je vois de loin
j’atteins de même
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