le premier
degré de la confiance
est marqué par le risque que prend
un esprit ouvert
de déstabiliser son cadre ontologique
sans en être désemparé
l'indétermination de principe
par quoi on assume de comprendre le monde
chaque fois ainsi
dispense
d'
une mathesis
occultant
l'étoffe de grammaires
premières
le rapport
de toute connaissance
à la mathesis se donne comme
la possibilité d'établir entre les choses
même non mesurables
une succession ordonnée
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