le
champ spatial
de
la dérive
est plus ou moins précis
ou vague
selon que cette activité vise plutôt
à
l’étude
d’
un terrain
ou
à des résultats affectifs déroutants
il ne faut pas
négliger
le fait que ces deux aspects
de la dérive
présentent
de multiples interférences
et qu’il est impossible d’en isoler
un
à l’état pur
mais enfin
l’usage des taxis par exemple peut fournir
une ligne de partage assez claire
si
dans le cours d’
une dérive on prend
un taxi
soit pour
une destination précise
soit pour se déplacer de vingt minutes
vers l’ouest
c’est que l’on s’attache surtout
au dépaysement
personnel
si
l’on tient à l’exploration directe d’
un terrain
on met en avant la recherche d’
un urbanisme
psychogéographique
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire