quelquefois
je vois au ciel
des plages sans fin couvertes
de blanches nations
en joie
quelquefois
le soir
allongé sur le flanc d'une butte
je laisse aller ma pensée
la lune n'est pas levée on a éteint les torches
seules les braises du feu de camp
brillent encore sous
les étoiles
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