de l'emploi de l'adverbe comparatif comme qui permet chez Proust l'évocation la juxtaposition et l'enrichissement des mondes comme si nous étions toujours riches de nos paysages immenses et minuscules grâce à notre capacité à relier l'ailleurs au temps présent faisant naître ainsi non la beauté elle-même mais le sentiment de son cheminement en nous la rencontre intime de ce qui vit et apparaît de nouveau et comme enfin uni en nous la métamorphose des miroitements et entrelacements des poésies de notre temps passé de nos réminiscences heureuses ou malheureuses
écrire
pour donner
vie au monde en le dépliant
sous nos
yeux
écrire
afin que
la recherche du temps perdu
embellisse ce qui peut l'être du présent
car rien ne peut commencer de ce qui n'a pas
déjà été beau
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