elle écrit bien au-delà de ses mots
elle se réveille au bord du siècle
elle ne s’habite plus
elle peux mieux faire
elle peux s’améliorer…
elle est
un cerf
un sentier
un archétypes de lac
neige
éternelle
tenir
un instant
ici
l’irréversibilité
revenir
maintenant
deux gongs décalés
deux églises
le fleuve
au bout de
la longue branche
rythme cosmique
toute poésie tend à devenir anonyme
la transparence n’existe que dans l’air
interroger
les chemins désertés
le soleil s'était caché
la nature
recommençait à régner sur le Bois
d'où s'était envolée
l'idée
qu'il s'agisse
de penser le
devenir ou
de l'exprimer ou même
de le percevoir nous ne faisons guère autre chose qu'actionner une espèce
de cinématographe intérieur
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