des êtres se rencontrent et une
douce musique s'élève
dans leurs cœurs
comme
les étoiles
nous rentrons
dans la nuit brève
de la vie
ou
nous rentrons pareils aux étoiles
dans la nuit brève
de la vie
*
à quoi bon
des poètes en temps
de
détresse
disait Hölderlin
aucun dieu
n'est là pour répondre
mais aucun maître n'a le pouvoir
d'étouffer
la question
VIVALDI
agitata da due venti
le vent et la lune seront mes amis éternels
mes semblables
d'ici-bas ne sont que
des amis éphémères
vivre c'est voyager
mourir c'est retourner au sol
l'univers ressemble à une auberge
les années qui s'écoulent à de la poussière
on se plaint en pensant au passé
on se plaindrait davantage si on songeait à l'avenir
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire