multitudes
d’alvéoles crevassées
vivantes
en
un seul âge
une grammaire hallucinée
oxygène
propulsion
élément antérieur
un vêtement de jugement
un dessin lisible
explosion
sans origine humaine
sans apparente protection civilisée
miroirs fermés
immobiles
j’y projette
toutes mes images
reste accroché aux branches mortes
dalle déduite
de l’arrachement
énigme
l’effacement
sans percer
le cœur
un trajet simple
au-delà des fracas
de matières
dont le poids oxydé se dissout
le contact
efface la durée
ce passage
que les mémoires inventent
débordant l’asymétrie
d’où
l’unique infini et multiple
fidèle
en cela immortelle
perdre
chaque instant
dans la ouate
de l’humus
antennes au nombre sans fin
captent
transmettent
leurs sempiternelles
moissons
posée là
l’absence évidente
un départ
senteurs concassées
perles sèches
l’éveilleur
trame sans cesse
des hauteurs
évanescentes à la chute
l’eau ronge
s’applique
à inverser le ciel
l’incline
vers la coupe
en défaisant le poids
une vision
retenue dans le pli
tant de poids à l’univers
d’immédiat retourné
ce déroulé
au but qu’on lui prête
traces partagées
enracinent le sens
modulations sur l’accroc
bruissant
sablier
d’aspérités non-régulées
une coquille vide
déposée
hors de son temps
appose à l’hirsute
sa spirale lisse
enchevêtrée
l’hiver renversé
pailles
de clarté fileuses
nues
dans l’habit nouveau
cette fois déroulé
montrant
ainsi la pente
souffle
harmonise le sec
retenir l’équilibre
saillir
aplomb d’air des profondeurs
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