le vent noire
la neige blanche
sous la neige
la glace
et l’on glisse
que c’est pénible
!
tous les piétons
glissent
je n’ai pas envie de parler de moi
mais de tendre l’oreille
pour écouter
la germination et le bruit du temps
toute la chambre est imprégnée
de langueur
quel délicieux remède
!
penser qu’
un si petit royaume
A englouti tant de sommeil
souffre
de ton angoisse comme
d’
une fable
soit tendre avec le superbe ennui
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