dans
ce livre
qui est avant tout une ode à la promenade à la rêverie on observe notamment les divers piétons des jardins et des villes les voyageurs aux petits pieds savourant l’exotisme du pas-de-porte les promenades régulières ou les répétitives pendant lesquelles certains font le plein et d’autres le vide
regrettant la commercialisation envahissante du grand air l’auteur insiste sur la possibilité qu’il nous reste de chercher à l’écart se lever tôt par exemple ou choisir le chemin des écoliers concluant son propos par une assertion quasi magique d’André Dhôtel
il y a
dans les environs de chaque village
un lieu
fréquenté uniquement par les enfants
qui l’abandonnent pour
une autre retraite
dès qu’
un hasard
le révèle à l’instituteur
ou à quelque autorité établie
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