la pierre noire...
qui luit
reluit de mer
une parole russe...
la mouette au-dessus de la grue
le voile rose violacé
de l’horizon clair
face aux cercles de flammes
il fait noir pour toujours
le fini chantait
les étoiles
les soleils et les lunes
une place forte
et tous les débris de lumière
ce sont là de petites erreurs
saleté passagère
perdu était non-perdu
dans la noirceur splendide
intemporelle
silencieuse
son âme
une âme
que chiffrait
une âme
on ne peut pas
ici comme ailleurs
court-circuiter l’épreuve solitaire et difficile
de la lecture
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