Fuis
mon ami dans ta solitude !
Je te vois étourdi par le bruit des grands hommes
et meurtri par les aiguillons
des petits
Avec dignité
la forêt et le rocher savent se taire en ta compagnie
Ressemble de nouveau à l’arbre que tu aimes,
à l’arbre aux larges branches
il écoute silencieux suspendu
sur la mer
ici
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