les conversions du feu
d’abord la mer
et de la
mer
la moitié terre
la moitié ouragan
la mer
s’écoule et est mesurée
dans le même logos qu’avant l’apparition
de la terre
le un
cet unique sage
le froid
interstellaire
côtoie les arbres noirs
un grand ciel
sombre
se confond avec la ville
la brillance
d’
un lieu sombre
éclaire
loin dans l’indicible
le visible
n’a pas encore ouvert
l’invisible
ce fouillis
d’instants n’est pas le temps
que faudrait-il d’autre que
l’univers
ceux
qui sont nés ne se reconnaissent
plus
hier
je suis
entré dans ce royaume
d’arbres jaunes
je
parlais
à haute voix
l’écho
me renvoyait
une présence ancienne
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