la
fin d’un monde
le chemin de fer s’arrête là
après c’est
la ...
*
elle
perçoit
la réverbération
d’
un
noir sauvage
de
chute en chute
il se dégrade jusqu’à blanchir
en
une
clarté fade
auprès de qui
les ténèbres sont l’éclat
elle
observait
en se mordant nerveusement
la lè̀vre
plusieurs fois de suite
elle
ouvrit et ferma les yeux
elle
n’osait plus bouger
elle
était devenue
immobile silencieuse alignée
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire