Le Fleuve sidéral, penché, charrie mille voiles dansantes :
Voici qu'en songe mon âme retourne au palais d' En-haut ;
Une voix céleste
me demande, pressante, à quel lieu je me rends.
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" Longue encore est la route, déjà le soleil se couche ;
En vain ai-je accompli quelque merveille en poésie ... "
L'oiseau géant s'envole au gré du vent sans limite...
Ne faiblis point ô souffle,
emporte ma barque vers les îles désirées !
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avec Li Qingzhao ( XII e siècle)
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