Dans une œuvre
aussi dense et haute que celle de
Lovecraft
les Montagnes de la folie
At the mountains of madness
sont sans conteste un des sommets, un des livres les plus lus et les plus indélébiles, une marque essentielle du fantastique, à l’héritage aussi bien littéraire que dans les arts populaires, le jeu vidéo, le film et la création graphique y compris.
Une lecture violente, remplie d’abstraction, alourdie de spécificités scientifiques (géologie, biologie) pour le rendre encore plus incontestable, dans un décor dominé par un mirage.
On est en 1931.
Lovecraft est revenu à Providence depuis 5 ans,
son divorce est prononcé depuis 3 ans.
Francois Bon
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Peinture de Nicolas Roerich (1874-1947)
plusieurs fois cité dans « Montagnes de la folie »
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