traversée
ici se trame via sa très grande déconstruction
une histoire
prose découpée
phrases isolées et réaménagées
typographiquement traitées
brisées et refondues
abîmées
parfois jusqu'au vers
autant de récipients
grossissant
coupant
déformant
réaménageant
le souffle
la traversée de ces habitations simultanées
entre dispersion et saturation
narrative
discursive
mentale
corporelle
sexuelle....
un récit en passion
une sincérité
une témérité
traversée 85
***
tout passe rien ne dure
tout ce qui surgit disparaît
tout ce qui naît meurt
tout ce qui apparaît est temporel et temporaire
et cela disparaît
c'est en ce sens
que l'infinité Aditi assume le rôle de dévoreuse
en tant que
MORT-FAIM
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