si
le pharmakon
habite l’ouverture
on ne peut dans la pharmacie distinguer
le remède du poison
le bien du mal
le vrai du faux
le dedans du dehors
le vital du mortel
le premier du second...
pensé
dans cette
réversibilité originale
le pharmakon est le même
précisément parce qu’il n’a pas
d’identité
et
le même
est
en supplément...
en écriture...
le supplément sous le nom d’analogon a été la pierre d’achoppement de S. à propos du simulacre et pourquoi pas à propos du pharmakon ayant poussé avec des drogues la recherche qui a aboutie à l’imaginaire
la force est
de traverser toujours chaque question
et de ne pas se tenir
aux bribes
qui sont le repas habituel
de tout philosophe
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