il paraît que certains ne voient que le malheur que la mort ne voient que la sombre partie de l’univers qui palpite en tout événement ils vivent ainsi cloîtrés se sentent poursuivis par la malchance n’arrivent à rien terminer ont peur des gens n’osent pas parler ne font que regarder sans oser toucher comme s’il leur était interdit de s’inscrire en quelque lieu
il faut se bâtir une réalité photographique pour ne plus subir un quotidien de merde me voici enfermé comme un rat seules les images de mon appareil permettent d’établir l’état des lieux d’ajuster le réel à l’imaginaire
désordre d'un lieu et son retour
Julien Marchand
Zoème
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Eric Darsan
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