les dithyrambes dionysiaques
de la fin de la troisième partie de Ainsi parlait Zarathoustra qu’au moment de les écrire Nietzsche pensait être la dernière partie du livre expriment un assentiment inconditionnel à la vie par l’adoption d’un comportement qui abolit les dichotomies
au cours du deuxième de ces dithyrambes
le deuxième chant de danse
après que Zarathoustra a chanté à l’intention de la vie
je te suis en dansant je suis ta moindre trace
la vie lui répond
et quand la vie lui reproche de ne lui être pas assez fidèle puisque un jour il la quittera et qu’en réponse il lui chuchote quelque chose à l’oreille parle-t-il de l’éternel retour la vie s’étonne
tu sais cela Zarathoustra ce que personne ne sait…
dans le troisième et dernier dithyrambe es sept sceaux ou le chant du oui et de l’amen Zarathoustra scelle finalement son union avec la vie grâce au
nuptial anneau des anneaux
l’anneau du retour
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