mercredi, juin 11, 2025


les dithyrambes dionysiaques 

de la fin de la troisième partie de Ainsi parlait Zarathoustra  qu’au moment de les écrire Nietzsche pensait être la dernière partie du livre expriment un assentiment inconditionnel à la vie par l’adoption d’un comportement qui abolit les dichotomies


au cours du deuxième de ces dithyrambes 

le deuxième chant de danse  

après que Zarathoustra a chanté à l’intention de la vie   

je te suis en dansant je suis ta moindre trace  

la vie lui répond  

Par-delà bien et mal nous avons trouvé 
notre île et notre verte prairie   
nous deux seuls 





























et quand la vie lui reproche de ne lui être pas assez fidèle puisque un jour il la quittera et qu’en réponse il lui chuchote quelque chose à l’oreille  parle-t-il de l’éternel retour   la vie s’étonne  

tu sais cela Zarathoustra  ce que personne ne sait… 

dans le troisième et dernier dithyrambe  es sept sceaux ou  le chant du oui et de l’amen Zarathoustra scelle finalement son union avec la vie grâce au 

nuptial anneau des anneaux 

l’anneau du retour 

















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