celui qui dort flotte suspendu parmi des milliers de monde emmêlés à la consistance si fugitive qu'ils se confondent dans sa conscience sans qu'il y ait aucun moyen de les distinguer
le grand tournis du possible
il n'y a au fond que deux questions
celles de la langue et de la mort
l'émergence de l'une chez l'enfant
le savoir de l'autre chez l'être parlant
l'altercation des deux qui rythme l'existence
c’est justement
cet excès de la recherche
cet excès d’interprétation
qui jette à la fois mon esprit au-dessous du langage
rude et naïf de ceux qui lui obéissent
comment finit le monde...
pas seul dans cette aventure...
la légende est folle...
entre l'idée et la réalité...
c'est souvent pathétique...
toutes les révolutions importantes et qui sautent aux yeux doivent être précédées dans l’esprit de l’époque d’une révolution secrète qui n’est pas visible pour tous et encore moins observable par les contemporains et qu’il est aussi difficile d’exprimer par des mots que de comprendre GWFH
poésie
une pièce de sa jeunesse
à l'imparfait du subjonctif
et puis
rien du tout
en plus
de faire partie
de l’équipe du Théâtre du Cuivre
elle exerce comme travailleuse autonome
les rôles de conceptrice
des éclairages
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