le mur
se répand en divisions de l’univers
la poésie
laisse davantage
d’autonomie à la lumière que
le verre
suivre quelque chose
mot
moteur le foret
il y a
trop de sens pour nous laisser en donner
davantage
la
logique
ne peut expier
sauf quand elle est
drôle
belles et ensoleillées
domine
un résidu loufoque
ruminations dispersées
premières notes
éparpillées comme la rosée
brumes flottantes
ruisselantes
jusqu'à former
une rivière
dont
l’élévation
si inventive ressemble
au paradis
les répliques de la clarté
dispensent en nature
de splendides faits blancs
bravo
on rit avec
la subtilité hésitante
le mur
glorifie en son apparence la matière qui cache
le mur conte
tandis que la vitre dicte
la poésie
compose la cité en disposant l’obstacle
à surmonter
les façades aveugles des maisons
et les arbres cylindriques
la poésie
interprète l’absence de ce qui prime
en guidant la marche céleste
de l’espace
le mur
ordonne l’horizon
une masse
de détails à associer péniblement
sur
un nouveau motif
je redoute pourtant d'entendre encore et encore les abrutis me parler de travail c'est très difficile de choisir je ne vais pas les décrire encore une fois même si c'est tentant on ne peut pas savoir il n'y a pas d'enregistrement tous les jeux improbables de nos silences allusifs voilà à quoi je pensais en admirant le paysage par la fenêtre de mon train
je suis
une force
admirative et indisciplinée
toujours
à la même place près de la
fenêtre
combien de portes
?
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