à moins que le ciel fâché ne tombe
à zéro heure
une terre se désinscrit
devient
une ligne droite
incluant son nouvel horizon
zéro infatigable
le cœur devient
un
dernière pierre d'
un bosquet persistant
et d'
une terre de nomades
une fenêtre
une main
un visage un sentiment
la bonté est dure au corps
un esprit inquiet
ne glisse jamais
dans le sommeil profond
il a
un corps de pensée complet et symbolique
tous les moyens de transport
témoignent
du besoin qu' a l'esprit de s'étonner parfaitement
quelque chose doit se déplacer à
une vitesse incroyable
une auscultation
silence archaïque qui gît à l'étouffée au fond des livres
une recherche d'échos
de résonances entre différents textes
qui fait de la lecture
une activité insaisissable
rumination muette et intime
une pure énigme de la pensée
je montais je montais je rêvais je pensais
mais tout m’oppressait
j'étais semblable à
un malade
que son terrible martyre fatigue et q'
un mauvais rêve
réveille lorsqu'il s'endort
ce que l'on est censé savoir un peu à son insu et que l'on sait effectivement tant que personne ne nous demande mais que l'on ne sait plus du tout dès que nous avons à l'expliquer
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