centre vide
l’arrivée au centre du labyrinthe
comme au terme
d’
une initiation
introduit
dans
une loge invisible
que les artistes des labyrinthes
ont toujours laissée dans le mystère ou
mieux
que chacun pouvait remplir selon sa propre
intuition ou ses affinités
personnelles
c’est
à l’homme qu’il revient de remplir
le centre
le
centre
est avant tout
le
Principe
le centre
des centres ne peut être
que
Dieu
le centre
n’est donc point à concevoir
dans la symbolique
comme
une position
simplement statique
il est le foyer
d’où partent le mouvement
de
l’un vers le multiple
de
l’intérieur vers l’extérieur
du
non-manifesté au manifesté
de
l’éternel au temporel
tous
les processus
d’émanation et de divergence
et
où se rejoignent
comme en leur principe
tous
les processus
de retour de convergence dans leur recherche
de l’unité
le centre peut être considéré
dans son rayonnement pour ainsi dire horizontal
comme
une
image du monde
un
microcosme
contenant
en lui-même toutes les virtualités
de l’univers
et
dans son rayonnement vertical
comme
un lieu de passage
le
cénacle
des initiations
la
voie
entre les niveaux
céleste
terrestre
infernal du monde
le seuil
de franchissement
et
en conséquence
de
la rupture
le centre
critique est
le point de la plus grande
intensité
le lieu
de la décision
la ligne
de partage
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