Dominique Fourcade
Le ciel pas d’angle
quarante-cinq poèmes pris dans le réel
a été écrit en dix ans
Il s’appuie sur une méditation des conquêtes de la peinture moderne, de Manet à Matisse, avec Cézanne comme figure centrale. La poétique et l’écriture cessent ici de privilégier tel ou tel moment de l’expérience sensible, en annulant toute hiérarchie dans le compte rendu du réel ; elles visent à traduire l’espace entre les choses – les choses et les êtres c’est tout un –, l’espace entre les éléments du sensible et la grande mélodie qui les lie.
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