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![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7zYYuz-uF6FQpfv1qpoDO3Abs1ZIhp37N70ZuWGHq_S5xVw1IgvBUqpzwBiahF5bLvIbfYb8338FkaOW0u3wCC0pj_UcYKnbnhn2a8fIpsRURTT9TG5jN8ox_q8hyphenhyphenrOPU1AO7OJUFGBY/s320/41TXFF310SL._SS500_.jpg)
Si la poésie de Cummings a pu paraître en son temps d'avant-garde, elle ne résiste au temps que parce qu'elle est fermement ancrée, sans nul traditionalisme, dans cette tradition qui remonte à la plus haute antiquité, celle d'Orphée, éveillant tous les sens et animant toute la création par la vertu de son chant.
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Si la poésie de Cummings a pu paraître en son temps d'avant-garde, elle ne résiste au temps que parce qu'elle est fermement ancrée, sans nul traditionalisme, dans cette tradition qui remonte à la plus haute antiquité, celle d'Orphée, éveillant tous les sens et animant toute la création par la vertu de son chant.
Je me suis donc, après d'autres, confronté à l'intraduisible - y compris sans doute en anglo-américain - du poème-et-de-la-langue Cummings ; entreprise dont tous s'accordent à juger qu'elle est folle (et désespérée), mais précisément en ceci qu'elle pousse à l'extrême le paradoxe de l'essence même de la traduction, qui est que seul ce qui ne peut-être traduit mérite finalement de l'être. Tout autre tentative de justification serait inutile, pour ne pas dire indécente
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Robert Davreu
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